Les retrouvailles [chez Andrew avec Similibus]

C'était le début de l'après-midi lorsque je commençait, après mon déjeuner, à préparer l'arrivée de mon grand ami Similibus Curantur.
J'avais appris son retour à Londres après ses 15ans de voyages c'était un évênement que je ne pouvais manquer pour rien au monde. Je lui avais fait parvenir un hibou pour l'inviter à prendre un thé ou un café après le repas du midi.
Après 15ans de péripéties il allait peut-être enfin rester en place à Londres, ce baroudeur n'avait pas pu arrêter sa folie des voyages après y avoir gouté pendant le voyage initiatique de fin d'études qu'on avais fait ensemble et avec Eud Vos aussi, les 3 fondateurs de l'OFFT! C'est d'ailleurs durant ce voyage que je découvris un pendentis dont j'aimerais bien percer les mystères, peut-être que les 15ans de voyages de mon compère lui auront fourni des informations à ce sujet, j'étais impatient d'entendre le récit de ses aventures.
Il n'avait pas du s'ennuyer pendant 15ans. Et il était surement beaucoup plus sage qu'au tant de Poudlard, cette visite sera l'occasion de se remémorer de bons souvenirs de l'école, savoir ce que chacun est devenu, oui présenté comme ça on dirait des vieux de 70ans qui ne se sont plus vus depuis la maternelle mais j'étais vraiment très impatient de le voir.
C'est pour ça que j'avais passé la journée, enfin la matinée, enfin 10minutes quoi^^" à ranger la maison, en 2-3coups de baguettes ce fut fait. Elle était impeccable, l'eau était chaude, la café était prêt et le thé aussi. Il ne manquait plus que Similibus qui ne devrait plus tarder!

J’avais reçu un hibou dans la soirée d’hier. Un hibou d’Andrew, mon ex compère de l’OFFT , ex camarade de Gryffondor et ancien élève de Poudlard.
Nous étions de la même année, nous avions partagé moult événements, péripéties et des purs moments d’extases ! A Poudlard comme à sa sortie en 7e année, puisque nous fîmes un long voyage d’initiation, ancienne coutume des sorciers d’avant remise au goût du jour par « Le survivant » d’un peu plus d’une année. Toutes ces épreuves que nous avions traversées me restaient gravé en tête, dans ma mémoire. Une mémoire remontant quinze ans en arrière et qu’il fallait ravivé ! Il était grand temps !

Je lui avais aussitôt renvoyé un hibou pour lui faire part de ma grande joie et de mon acceptation à son rendrez-vous ! J’étais rentrer une ou deux semaine auparavant de mon dernier périple m’ayant conduit jusqu’au Tibet et ses paysages somptueux et aussi d’une magie caché, d’une puissance tout aussi fascinante que le pays dans lequel elle résidait.
J’avais eu vent de son retour à la civilisation cinq années avant moi même. Nous avions rodés et usés les hiboux de toutes les compagnies de frais postal du monde !

Donc après un enterrement très discret et assez douloureux pour moi, celui de ma chère mère, auquel il était présent, je revoyais enfin un de mes amis des plus proches et des plus fidèles ! J’avais tout de même du prendre une carte pour voir où cela se situé. Je sortais ce jour là de mon entretien d’embauche, concluant qui plus est, au ministère de la magie. Quand à Andrew nous avions passés quelques temps auparavant les test d’entrée au bureau des Auror ensemble. Une tentative de retour à la civilisation raté qui ne m’avait pas forcement beaucoup plus, n’aimant pas la sale besogne, j’en étais repartis écoeuré et pressé de retrouver ma tranquillité et ma paix sur les routes de la planète ! Il avait quand à lui accepter plein d’espoir qu’il était, et confiant en ses supérieurs et en ce monde magique qui n’était plus aussi sombre qu’avant. Andrew avait l’air de s’en sortir dans la vie, et j’en étais heureux pour lui.

Il vivait dans l’ancienne maison de ses parents à Brighton, je l’avais prévenu que j’arriverais par le réseau de cheminée du ministère à 14 heures tapante ! Chose promise chose due !
Plein de facéties j’avais décidé de lui filait les chocottes, j’arrivais donc par la dite cheminée qu’il avait ouverte à cette occasion, mais touchant le sol je larguais, une petite bombe composition Weasley frères et associés ! Un nuage de brume noirâtre sorti abondamment de la cheminée, je commençais alors à tousser abondement pour jouer le jeu, me couvrant de suie le visage et me mettant les cheveux en pétards, faisant mine de tituber pour trouver la lumière, j’attendis qu’il vienne « me secourir » cachant bien mon jeu, quel acteur étais-je ? Doué j’aurais dit alors avec malice !

-Tousse, Andrew…Tousse, Andrew! Par les mamelles de mes lambelles ! Qui est ce qui m'a foutu une cheminée aussi foireuse! dis-je d’une voie forte et tressautante.

C'était du grand art vraiment! Humblement on pouvait dire que c'était du moi tout craché! Il n'y verait que du feu! J'étais un cas incurable de farceurs facétieux il fallait croire, quinze ans ne vous change pas completement un homme!

J'entendis un gros BOOM dans mon salon alors que j'étais dans ma cuisine pour préparer des petits gateaux pour accompagner les boissons. Je transplana donc sur place pour voir ce qui se passait et je découvris Similibus, j'avoue avoir eu un peu de mal à le reconnaitre couvert de suie et les cheveux dressés sur la tête. Qu'est ce qui a bien pu lui arriver... Je m'avança vers lui pour être bien sûr que ce n'était pas une erreur de réseau des cheminées, non non aucun doute possible ça ne pouvait être que Similibus Curantur, humble trouble fête de Gryffondor comme il aimait à le rappeler. Ah que de bons souvenirs on avait, la remise des diplômes était mythique! Avec le nom Weasley resplendissant dans le ciel en bouquet final d'un hommage....frappant dirons nous. J'accueillai donc mon compère, avec humour toujours^^.

Sim? c'est toi? désolé pour la cheminée mais.... dans "Ma porte sera toujours ouverte pour toi!" c'est quel mot que t'as pas compris?? Pourquoi tu passes par la cheminée? Tu aurais aussi vite fait de transplaner devant ma porte, ma maison est cachée aux moldus.

Quelque chose me chiffonait, j'étais sûr d'avoir demandé à Skep de ramoner la cheminée il y a moins d'une semaine, comment ce diable de Similibus a-t-il fait pour se couvrir de suie comme ça?
On verra ça plus tard...
Je serais bien mauvais hôte de le laisser poireauter dans la cheminée.

-Tu veux venir t'assoir, je ne te propose pas de visiter, tu connais la demeure. Par contre si tu veux aller te débarbouiller tu sais où c'est. Dis-je d'un ton amusé en lui indiquant la direction de la salle de bain. En attendant je vais chercher à boire si tu me permets, thé ou café? j'oublie toujours...

Quand à moi qui émergeais de mon canular, j’entendis un craquement sonore, signe que quelqu’un avait transplané dans la pièce, ce ne pouvait être que ce fainéant d’Andrew ! Je vis alors blazer qu’il n’avait pas marcher dans le subterfuge mais pire que sa, il n’avait même pas pris le temps de lire mon hibou apparemment, le dit hibou qui prévenait de mon arrivée par la dite cheminée de sa demeure.

Sim? C’est toi? Désolé pour la cheminée mais.... dans "Ma porte sera toujours ouverte pour toi!" c'est quel mot que t'as pas compris?? Pourquoi tu passes par la cheminée? Tu aurais aussi vite fait de transplaner devant ma porte, ma maison est cachée aux moldus.

Je repris alors la parole :

-Corne de Bouc ! Si tu prenais au moins le temps de lire les Hiboux convenablement ! Dis-je sur un ton faussement amer, puis souriant de nouveau et lui parlant sur un ton tout doux. Tu saurais que j’arrive tout droit du ministère et que de la il est plus pratique d’utiliser le réseau de cheminées. A ce sujet la tienne est d’une propreté remarquable mes compliments au ramoneur de la maison ! Terminais-je lui faisant un clin d’œil.

Tu veux venir t'asseoir, je ne te propose pas de visiter, tu connais la demeure. Par contre si tu veux aller te débarbouiller tu sais où c'est. Me Dit-il d'un ton amusé en m’indiquant la direction de la salle de bain, quel farceur celui la !

Je soupirais alors, me jetant un sort informulé qui remit non seulement toute la pièce en ordre, mais qui me remis par cela même dans un état présentable.

-Sa ira merci,lui dis-je malicieux. Toujours aussi accueillant toi !

En attendant je vais chercher à boire si tu me permets, thé ou café? J’oublie toujours...

-Un thé à la menthe pour moi s’il te plait. Lui dis-je calmement en m’asseyant confortablement sur son divan.

J’observais ensuite l’intérieur de la maisonnée vu du salon, rien n’avait vraiment changé depuis tous ce temps, il n’était décidément pas axé sur toutes ces pacotilles de design intérieur, de karma qui voulait qu’on organise sa maison en fonction de ses chakra, ou toute autre notion d’aménagement. C’était une sorte de maison du souvenir du coup. Bien sur il avait quand même décoré certaines parties de la maison à son goût je n’en doutais pas, mais pour le reste tout était de l’époque de ces parents, si l’on excède aussi l’invisibilité aux Moldus dont Andrew s’était paré. Je continuais mes égarements mentaux jusqu’à ce qu’il revienne dans la pièce.

Je me doutais bien que ma cheminée n'était pas la base du problème, c'était surement une production Weasley, il faudra que j'aille y faire un tour à l'occasion histoire de rendre la pareille à ce farceur de Similibus.

Un thé à la menthe, ça marche, dis-je en me dirigeant vers la cuisine. Je lui prépare son thé et en même temps mon café, et je lui lance de l'autre pièce, Tu te remets comment de la mort de ta mère? Tu sais que je suis là hein? Tu peux rester quelques jours ici si tu veux, comme je te l'ai dit, ma porte t'es toujours ouverte.

Une fois les boissons prêtes, je me dirigeais vers la table, j'avais oublié les gâteaux dans le cuisine...heureusement, en me retournant je vis Skep, mon elfe de maison, un plateau dans chaque main courir vers le table basse près des fauteuils.

Heureusement que Skep est là pour vous secondre, car vous êtes bien étourdi ces temps-ci, Maitre. me dit-il de sa petite voie aïgu en posant les encas.

Je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler Maitre, tu n'es en aucune façon mon serviteur, tu es un ami et un invité ici, ne te considère pas comme mon serviteur. lui dis-je gentilment, mais un peu agacé de cette manie de me traiter comme supérieur à lui. Sim, je te présente Skep, un elfe de maison que j'ai rencontré et fait libérer lors de mon dernier voyage en Irlande, il appartenait à des maitres bêtes et méchants, ils n'ont pas compris quand ils lui ont donné le T-shirt moldu que je leur avais moi-même confié, ils ne voulaient pas en avoir la charge et ont dis à Skep d'en faire ce qu'il voulait. Il l'a toujours, encadré dans sa chambre. Skep, je te présente un grand ami, Similibus Curantur, nous étions ensemble à Poudlard, et même après d'ailleurs.

C'est un grand honneur de vous rencontrer Mr Similibus Curantur. dit-il en s'inclinant devant le blondinet assis dans le fauteuil.

Bon c'est pas tout ça mais ça va être froid si on continue comme ça. Tiens Sim ton thé, gateaux? lui dis-je en lui tendant sa tasse et un plateau de patisseries. Skep tu veux te joindre à nous?

Non merci Maitre, je vais aller faire le ménage dans le cuisinedit-il en se précipitant dans la-dite pièce.

Rhaa il m'énerve à m'appeler Maitre...Alors comment ça se passe le retour à la vie Londonienne? ton entretien a donné quoi?dis-je en m'installant dans un fauteuil face à Similibus, j'avais hâte d'avoir des nouvelles de son retour à la civilisation.

Drew’ comme j’aimais à l’appelé maintenant partit alors nous préparés des boissons, de là-bas il fut égal à lui-même en me disant ceci :

Tu te remets comment de la mort de ta mère? Tu sais que je suis là hein? Tu peux rester quelques jours ici si tu veux, comme je te l'ai dit, ma porte t’est toujours ouverte.

Effectivement le tact n’était pas son point fort, cela étant dit bien qu’elle fut décédé quelques semaines auparavant, j’avais déjà assez digéré cela pour ne pas en vouloir à Drew’ de tant de brutalité et d’en sourire ce que je fis. Je me dis alors que je n’avais jamais vraiment été très présent avec elle durant toutes ces années et même pendant mon enfance, tellement remonté contre Gloria de son prénom car cette dernière m’avait caché ma véritable nature et identité, ce qu’elle continua à faire par la suite pendant mes années à Poudlard où sans le savoir j’avais fréquenté mon cousin Cell’, cousin dont j’avais appris l’existence par une lettre que l’on m’avait remise suite à la mort de Gloria. Je ne l’avais jamais soutenu ni compris, quel genre de fils avais-je été ? Même si je lui avait confié sur son lit de mort que je la pardonné entièrement pour cela, ce qui été le cas désormais, je ne m’en sentais pas moins coupable pour son abandon de ma part. Sa solitude que je m’imaginais me fendais le cœur bel et bien, mais sa qui aurait pu le comprendre, je n’avais plus le droit de pleuré sur mon sort aujourd’hui c’était trop tard.

-Oui je sais, répondis-je après quelques secondes de silence, d’un ton las.

Oui je savais que je pouvais compté sur lui, mais j’avais appris à ne compter que sur moi-même tout ce temps, et même si je lui faisais confiance, je n’avais aucun droit de me reposer sur lui pour l’instant. Peut être étais-ce de la fierté mal placé ? Les amis sont fait pour se genre de cas normalement. Mais quelque part dans mon esprit et dans mon cœur je ne pouvais pas encore.. J’avais besoin de ma colère pour tenir bon.

Andrew revint et cette fois accompagné d’un petit être maigrelet, vêtue de ce qui ressemblait a des guenilles, je reconnus sans peine les caractéristiques des elfes de maison si prompt à l’auto flagellation de leur personne, les deux êtres se disputaient sur la façon de se comporté l’un envers l’autre, je reconnus bien là la bonté d’Andrew. Il me le présenta :

Sim, je te présente Skep, un elfe de maison que j'ai rencontré et fait libérer lors de mon dernier voyage en Irlande, il appartenait à des maîtres bêtes et méchants, ils n'ont pas compris quand ils lui ont donné le T-shirt moldu que je leur avais moi-même confié, ils ne voulaient pas en avoir la charge et ont dis à Skep d'en faire ce qu'il voulait. Il l'a toujours, encadré dans sa chambre. Skep, je te présente un grand ami, Similibus Curantur, nous étions ensemble à Poudlard, et même après d'ailleurs.

Je me contentais de faire passer mon regard de l’un à l’autre, avec un léger sourire à la vue de tant de délicatesse et de conformisme de la part de Drew’. Puis « Skep » me salua :

C'est un grand honneur de vous rencontrer Mr Similibus Curantur.

Je lui rendit son salut en inclinant moi aussi la tête puis répondis à ce dernier :

-Autant pour moi Skep. Lui dis-je chaleureux.

Andrew enchaîna de suite :

Bon ce n’est pas tout ça mais ça va être froid si on continue comme ça. Tiens Sim ton thé, gâteaux?

J’acquiesçais de la tête. Il me tendit un des plateaux sur lequel étaient disposé de succulentes pâtisseries. Drew’ invita son ami elfe de maison, ce qui était plus justement dit à ce que j’avais compris de la conversation. Ce dernier refusa, prétextant qu’il avait du ménage à faire. Andrew maugréa puis repris la parole :

Rhaa il m'énerve à m'appeler Maître...Alors comment ça se passe le retour à la vie Londonienne? Ton entretien a donné quoi?

A quoi je répondis :

-Offre lui peut être plus de vêtements ? Dis-je avec un léger sourire dans un premier temps puis répondant à sa question après une bouchée de gâteau et une gorgée de son thé qui était plutôt fameux à vrai dire. Et bien pour l’instant cela ne va pas trop mal. J’ai eu le job ! Lui dis-je avec plus de verve, je commence demain ! Pour ce qui est du logement, j’ai repris l’appartement de ma mère. Je l’ai légèrement re-décoré, tu comprends..

C’était clair, je n’aurais pas pu y emménager sans au préalable changer quelques peu la physionomie de cet appartement, trop de souvenirs faisant resurgir ma culpabilité. Quoi qu’il en soit j’avais tout de même transféré les dits souvenirs, jusqu'à ma maison d’écosse dans le Minch, maison que même Drew’ ignorait l’existence, du moins pour l’instant, tant que mes contentieux avec mon cousin ne serait pas réglé.

-Oui je sais. Dit-il las.

Depuis la mort de sa mère, je sentais qu'il avait changé, il faisait toujours le fanfaron mais on aurait dis comme une façade, comme si il voulait...je sais pas...fuir, se cacher ou cacher quelque chose. Il prit un gateau après avoir fait la connaissance de Skep, et il m'apporta des détails sur sa vie à Londres.

Et bien pour l’instant cela ne va pas trop mal. J’ai eu le job ! dit-il avec plus de verve, je
commence demain ! Pour ce qui est du logement, j’ai repris
l’appartement de ma mère. Je l’ai légèrement re-décoré, tu comprends..

Il avait eu le job! ça c'est une bonne nouvelle, ça mettra un peu de stabilité dans sa vie mouvementée. Quant à la redécoration de l'appartement de sa mère, je le comprenais, j'avais fait la même chose dans quelques pièces de cette maison-même mais pas pour les mêmes raisons, je ne tenais pas à chasser des souvenirs, mais plutôt les organiser et faire mienne cette demeure.

Félicitations pour le job, on est collègues maintenant, en plus de tout le reste^^ . Ah c'est cool, j'aurais quelqu'un avec qui faire des pauses cafés et avec qui échanger des notes de services qui ne parlent pas de malheurs!

J'étais heureux comme un gamin, on allait travailler ensemble, pas au même département mais ça importait peu, on allait être au même endroit.

Je voulais lui parler au plus vite du médaillon, il m'obscédait vraiment ces temps-ci. Je lui demanda donc entre deux gorgées chaudes et un gateau.

Je ne sais pas si tu te souviens mais pendant notre voyage initiatique j'avais trouvé un collier avec un pendentif, il sentait la magie à plein nez mais impossible de savoir à quoi il servait. Eh bah je l'ai gardé et je l'ai toujours, il doit être quelque part par là, dis-je en fouillant dans une armoire du salon j'aurais aimé savoir si tu n'avais pas eu un mince écho d'une ombre d'indice durant tes voyages, j'ai fais des recherches de mon côté mais elles sont restées infructueuse. Ah le voilà! , dis-je en tendant le collier à Similibus.
Je me rassis et attendit son verdict, j'espèrait qu'il eut une réponse à mes questions, mais si il n'en avait pas, tant pis, je partirai à l'aventure pour percer son mystère!