Un aveu en vue??? [terminé]

Ce jour était une journée à se trouver dehors et non à l’extérieur. Il faisait une journée magnifique et les température avoisinaient les 25° degrés et cela durait depuis plusieurs jours. Mais tout cela ne donnait pas envie à Stacy de sortir et de profiter de la belle journée.
En effet, cela faisait plusieurs journées qu’elle n’avait pas envie de sortir de chez en encore moins de voir du monde !
La jeune femme ne se sentait pas bien, elle avait, ces derniers jours, vécu des moments assez durs ! Pour commencer, il y a trois semaines, elle avait découvert que Stefen subissait un mauvais sort qui l’obligeait à rester dans le corps d’une femme. Il lui avait caché la chose au début mais hélas Stacy était tombé sur une conversation qu’il avait son père et avait tout appris. Elle avait voulu aller le trouver pour avoir des explications mais, hélas cela s’était très très mal passé…, ensuite, il y a une semaine d'ici, la boutique avait été cambriolé et on avait volé pour plusieurs milliers de gallions, argents et marchandises compris. De plus la boutique avait été assez bien malmenée. Quand Stacy avait vu cela le lendemain du cambriolage, elle avait cru que le ciel lui tombait sur la tête. Elle se demandait ce qu’elle avait bien pu faire pour tout tourne de travers ces derniers temps pour elle. Heureusement elle n’avait pas été blessée.

De puis qu’elle était rentrée du Ministère après avoir fait sa déposition, la jeune femme n’avait plus quitté sa maison et pourtant, la vie continuait et elle devait remettre la boutique en ordre et ce avant les vacances d’été car il y allait avoir beaucoup de monde à Pré-au-lard durant cette période. Stacy le savait bien mais avait du mal à se mettre en route…
Elle était tellement bien chez elle, elle et Naka, son elfe de maison, personne d’autre. C’est ce qu’elle voulait pour le moment.
Elle était descendue tôt ce matin, elle s’était rendue sur la terrasse pour profiter du calme de la matinée et de sa fraîcheur. C’est qu’elle prit son déjeuner, enfin elle n’avait pu que son verre de jus de citrouille frais et pour faire plaisir et rassurer l’elfe, Stacy avait mangé la macédoine de fruits frais que Naka avait préparé.
Elle resta ainsi quelques temps à regarder le jardin et les parterres de fleurs qu’il y avait autour de la maison. Les beaux parterres de sa maman !!!
Si elle voyait cella pensa Stacy !!! Il commençait à y avoir des mauvaise herbes avec les fleurs et cela ne ressemblait plus à rien !!!

Lorsqu’un rayon de soleil frappa une des roses rouges, Stacy la regarda sans ciller du regard. Elle ne bougea pas admirant sa fleur préférée. Elle remarqua qu’elle était là debout malgré toutes les mauvais herbes. C’est là que la jeune femme se décida à bouger. Elle monta se changer et redescendit pour nettoyer les parterres. C’était déjà ça ! Elle ne pensait pas encore a voir du monde et de retourner à la boutique mais au moins elle bougeait !
Elle commença par ceux du jardin pour terminer par ceux-ci se trouvaient à l’avant de la villa.
Elle était occupée à arroser les fleurs quand elle entendit quelqu’un lui parler.

Il est souvent très rare de trouver une fleur aussi jolie que sa jardinière.

Stacy arrêta net d’arroser et se retourna vers l’endroit d’où on avait parlé. Là il pu apercevoir un jeune homme, brun avec un teint halé qui se tenait derrière la barrière. Elle le regarda étonnée par sa remarque et de plus elle avait l’impression de l’avoir déjà vu !!!
Il lui fallu un bout de temps avant de se reprendre, mais elle ne trouva rien à dire.
Le jeune homme lui souria puis enchaîna pour ne pas laisser un blanc s’installer :

Excusez – moi, vous êtes bien Stacy MacErwan ?

Elle fut étonnée par le fait qu’il connaissait son nom, alors qu’elle ne le reconnaissait pas.

Euh oui, c’est bien moi ! répondit elle.

Mais je peux savoir à qui ai-je l’honneur ? lui avait-elle demandé par la suite.

Le jeune homme souria puis répondit.

Je ne suis pas trop surpris que tu ne me reconnaisse pas, je suis Jacob MacFinn. Tes grands parents étaient les voisins de mes parents.

Mais oui elle se souvenait de Jacob, mais il y avait si longtemps qu’elle ne l’avait plus vu qu’il lui avait été difficile de le reconnaître.Elle déposa alors l’arrosoir et se dirigea vers la barrière pour l’ouvrir et inviter Jacob à entrer. Ils passèrent à papoter devant un verre de jus de citrouille se rappelant du temps où ils étaient enfants. Cela continua pendant plusieurs jours ! Jusqu’au moment où il lui avait proposer d’aller vois la boutique pour la remettre en état ! Sur le moment Stacy avait hésité mais après tout cela serait peut-être plus facile à deux. Et la boutique fut remise en état assez rapidement, merci la magie… Il ne restait plus à Stacy de se remettre a fabriquer de nouvelles friandises.
Mais ça, cela sera pour plus tard !

Une fois qu’elle eu fait le tour de la boutique pour savoir si rien ne manquait ou devait être réparé, Stacy rejoignit Jacob et souria.

Voilà c’est finit, un tout grand merci pour ton aide. Lui dit-elle en souriant.

De rien c’est avec plaisir. Euh, je me demandais si cela te dérangeait si on allait faire une ballade avant de rentrer pour profiter de la belle journée.

Stacy fut un peu surprise de sa proposition mais accepta rapidement.

Bien sûr, on est resté enfermé toute la matinée, un peu d’air frais nous ferait du bien. Que penses – tu du parc ?

Il accepta d’un signe de tête et ils transplanèrent par la suite. Une fois dans le parc, qui était bien dépeuplé malgré le beau temps, ils marchèrent un bon moment côté à côté avant de s’asseoir sur un banc…

Bon c’est décidé je me pends ! De toute façon jamais je n’arriverais à la ravoir et je ne pouvais plus vivre sans lui. Donc pourquoi chercher plus loin ? La mort pouvait parfois paraître si douce… Je n’avais pas envi de la voir évoluer sans moi. C’était trop insupportable. Je n’en pouvais plus. Plus d’une fois depuis une semaine je m’étais décidé à la voir mais au dernier moment je renonçais. J’avais alors fini par apprendre que sa boutique avait cambriolé. Elle ne venait plus… Je me sentais encore plus mal de ne pas l’apercevoir. Non s’en était trop. Allez hop j’attachais la corde à un arbre. Vais-je vraiment le faire ? Je vais me gêner ! Je m’étais posé dans un endroit reculé du parc pour pouvoir mourir en paix. Tout ça pour une femme… Qui aurait cru que je tomberais bien bas ! J’étais alors assis sur la branche. Je passais la corde autour de mon cou. Oui oui j’étais sérieux j’allais sauté ! Bon. A la une… A la deux… A la trois ! Je sautais de l’arbre. Le petit hic que j’avais pas prévu c’est que la branche se brise sous mon poids. Alors celle-là elle est bonne ! Moi qui pensait que ça suffirait vu que je n’avais pas l’air trop gros dans ce corps… J’avais tout de même les mains égratignés. Je grimaçais quand quelqu’un accouru vers moi.

« ça va mademoiselle ? »

« Non ! »

Je me relevais alors pour enlever la corde de mon cou et changer de branche dans l’intention de recommencer.

« Euh… Vous faites quoi ? »

« Je me pends ça se voit pas ? »

« Pourquoi O.O ? »

« Écoutez vous ne pouvez pas comprendre… On ne se connaît même pas et… Mais ! Rendez-moi ma corde ! »

« Non ! Je refuse qu’une aussi belle et jeune demoiselle se pende quelque soit les raisons même si j’en ai une vague idée. »

« Qu’est-ce que vous en savez ?! »

« Par amour ? »

« … »

« Je m’en doutais. Et j’en suis navré qu’un imbécile soit passé par là pour vous briser le cœur… »

« Ce n’est pas ça. C’est moi l’imbécile. J’ai dit à la seule personne que j’aurais pu aimer qu’elle m’oublie. Je gâchais mes seuls chances et royalement… »

« Et vous pensez qu’il est trop tard ? »

« Oui… Je l’ai blessé à un point inimaginable. Jamais je n’aurais été aussi nulle. Si je pouvais revenir en arrière je changerais mes paroles. Je ne dirais pas à la personne de m’oublier mais de rester. Seulement la situation fait que je ne voulais pas qu’elle m’attende. Je lui ai menti, je l’ai blessé et peut-être même brisé. Jamais je n’aurais voulu lui faire du mal alors que c’est peut-être la seule personne que j’aurais vraiment aimé… »

Je regardais alors la corde. Je savais que je ne la réccupèrerais pas comme ça. Je finis par laisser tomber. Sauter du haut du ravin serait peut-être mieux... Je rejoignis alors le chemin qui était à un mètre juste derrière un buisson quand je tombais sur Stacy. Avait-elle entendu ce que je venais de dire ? Aucune idée mais mon regard ne fut pas capable de croiser le sien. C'était la première fois que je fuyais celui d'une femme. Je ne fis du coup même pas attention au mec qui l'accompagnait... Le mec qui avait voulu me sauver me rejoignit.

« Je vous remercie pour tout à l'heure... Je dois y aller.»

Je commençais alors à faire demi-tour incapable de lui faire face...

Stacy et Jacob parlaient de leur enfance quand ils allaient jouer ensemble pendant les grandes vacances. Stacy allait souvent chez ses grands parents. Ils parlèrent ainsi pendant un bon moment.
Sans s’en rendre compte, Stacy se remettait doucement, la présence du jeune homme lui faisait du bien mais hélas au fond d’elle, il y avait toujours la présence de Stefen.
La discussion était tellement passionnante qu’elle n’avait pas vu qu’une jeune femme non loin d’eux, essayait de commettre l’irréparable.

D’où elle était elle ne voyait pas grand chose, donc, elle n’y vit pas qu’il s’agissait de Miley et encore moins qu’elle avait grimpé sur l’arbre.
Elle allait demandé à Jacob ce qu’il faisait comme métier quand elle entendit un branche se casser et comme quelqu’un qui tombait.
Elle sursauta et regarda autours d’elle pour savoir d’où cela provenait. Au début, elle ne parvenait pas à trouver mais quand elle se leva et qu’elle regarda sur le côté, elle aperçut une jeune femme et un homme qui lui parlait, sur le moment elle n’avait ni reconnu Miley ni vu la corde, c’est à un moment où le jeune homme bougea qu’elle l’aperçu.

Oh mon dieu… avait-elle dit en reprenant sa place. Stacy était devenue toute blanche car elle avait compris le geste qu’il avait voulu commettre.
Mais pourquoi avait-il fait cela. Et c’est sans le vouloir qu’elle entendit la conversation entre elle et le jeune homme.
Il lui fallu un moment avant d’accuser le coup alors il l’aimait et s’en voulait de l’avoir fait souffrir. Pourquoi avoir attendu si longtemps pour avouer ce qu’il ressentait.
Et c’est que la raison de son geste lui fit face. C’est à cause d’elle qu’il avait voulu mettre fin à ses jours et aussi à cause de la malédiction !!
Les larmes commencèrent à couler sur ses joues mais se calma quand elle le vit venir dans le direction.

Pendant tout ce temps Jacob l’avait regarder sans dire un mot essayant de comprendre ce qui se passait.

Qu’y a – t’il Stacy tout va bien ?

Stefen,… voilà juste ce qu’elle lui avait donné en réponse…

Jacob était au courant de ce qui s’était passé et lui dit sur un ton remplie de colère…

Quoi Stefen, tu ne crois pas qu’il t’a assez fait souffrir comme cela oublie le ça vaut mieux !

Mais non,…

Elle n’eu pas le temps d’achever sa phrase que Jacob l’embrassa par surprise… Mais son regard ne fut pas poser sur le jeune homme, mais sur Stefen qu'elle venait de voir qui partait! L'avait-il vue, elle n'en savait rien...
Une fois qu'elle fut remise de sa surprise, elle se focalisa sur Jacob et le repoussa en le glifflant.

Et mais ça va pas non? Qu'est-ce qui te prend?

Lui avait elle demandé avec de la colère dans la voix.

Je m’étais retourné. Je refusais de lui faire face. Ça faisait bien trop mal de la voir comme ça. Non je voulais alors partir loin quand je reconnus très bien ce bruit. Je me retournais surpris quand je vis Stacy en colère. Elle venait de mettre une gifle au type qui était avec elle. Pour qu’elle raison ? Je me le demandais bien.

« Et mais ça va pas non? Qu'est-ce qui te prend? »

Je haussais un sourcil. Rah je n’aimais pas ça. Mon instinct plus qu’autre chose me fit retourner sur moi-même pour revenir. J’avais peut-être la forme d’une femme et la même taille que Stacy contrairement à ce type qui faisait bien une tête de plus que moi mais je n’hésitais pas à m’interposer. Non mais oh on ne touche pas à ma belle à moi ! Bon ok je savais pas ce qu’il lui avait fait mais sincèrement j’en avais une petite idée pour avoir reçu la même. Il avait dû devenir entreprenant. Je n’osais même pas imaginer ce qu’il avait fait exactement sinon j’allais vraiment me mettre en colère.

« Qui que tu sois je te défens de la toucher où c’est de ma baguette que tu vas tater ! »

Et hop je finis par prendre la main de Stacy pour l’attirer à côté de moi. Il était très dur de résister à l’envie de la prendre dans mes bras. Non mais oh ! Moi possessif ?! Pas du tout.. Je me tournais alors vers Stacy.

« ça va aller ? »

Stacy regardait Jacob furieusement, qu’il soit gentil, attentionné en vers elle passe encore. Il était un soutien pour elle après ce qu’elle avait vécu mais de là à ce qu’il l’embrasse, c’était autre chose.
Elle ne voulait pas, et surtout pas maintenant.

Désolé, s’excusa t’il, je ne voulais pas te blessé, je me disais que si je t’embrassais, tu oublierais celui qui t’avais fait souffrir au tant.

Il la regardait comme si il implorait son pardon, mais Stacy ne fit aucun geste dans se sens. Elle ne voulait pas qu’on l’aide à oublier qui que se soit, si elle devait le faire c’était toute seule.
Elle voulu intervenir quand elle vit Miley arriver vers elle et se placer en face de Jacob et lui dire:

« Qui que tu sois je te défens de la toucher où c’est de ma baguette que tu vas tater ! »

Elle la regarda surprise mais lui dit.

C’est bon Miley ça va aller…

Oui ma ptite dame ne t’en mêle pas, je n’au pas envie de faire du mal à une si jolie fille que toi ! Et qui plus est ce ne sont pas tes affaires.

Jacob avait tout cela sur un ton calme alors qu’un autre se serait déjà mis sur la défensive. On voyait bien qu’il ne savait pas à qui il avait à faire.

Stacy senti une main attraper la sien et la tirer en arrière. Elle compris qu’il s’agissait de Stefen. Quand il lui demanda si cela allait aller. Elle lui souria pour le rassurer.

Oui ça va aller ne t’inquiètes pas. Mais s’il te plait ne t’en mêle pas, je….

Elle ne su pas terminer sa phrase que Jacob s’était levé et s’était approché.

Attendez une petite minute, … je peux savoir qui vous êtes pour vos comporter de la sorte, de quoi vous mêlez vous ?

Là on entendait de la colère dans la voix de Jacob, il ne devait pas apprécier que quelqu’un s’était mêler de leur histoire.

Jacob attend, il, euh elle a juste cru que j’étais en danger et n’a fait que de me protéger. Mais ça va aller maintenant.

Oups, elle venait de commettre une bourde et espérait que cela ne s'était pas entendu.
Elle avait toujours sa main dans celle de Stefen, et plus elle parlait pour calmer les choses, plus elle sentait la tension monter en lui. Elle sentait bien que cela risquait de s’envenimer rapidement.

Non mais pour qui il se prend ! Elle est déjà prise o ! Non mais ! Je ne supportais pas qu’on me pique MA femme comme ça ! Quoi ? Elle est pas encore au courant que je compte la récupérer ? Ben elle allait très vite le capter. Je ne pouvais plus vivre sans elle ce n’est pas pour la laisser au premier crétin qui passe ! Stacy me disait que ça allait. Mais non ça allait pas ! Regardez moi ce prétentieux ! Je sentais la colère montait en moi alors que je le défiais du regard. Ma petite dame ! Non mais attendez un peu que je lui foute mon point dans sa gueule il allait le sentir passer ! Et si j’ai envi de m’en mêler j’allais m’en mêler ! Et si ce sont mes affaires ! Stacy me demandait de ne pas m’en mêler. Malheureusement pour elle je ne risquais pas de l’écouter. De nature possessif tant que cet homme ne l’aurait pas lâché moi je ne l’abandonnerais pas !

« Attendez une petite minute, … je peux savoir qui vous êtes pour vos comporter de la sorte, de quoi vous mêlez vous ? »

« Jacob attend, il, euh elle a juste cru que j’étais en danger et n’a fait que de me protéger. Mais ça va aller maintenant. »

« De quoi je me mêle ? C’est la femme de mon cousin ! Approche-toi d’elle et crois-moi que tu risques de le regretter amèrement ! » dis-je pour ensuite me tourner vers Stacy. « Je te dois des explications… J’espère que tu ne m’en voudras pas de… »

Seulement avant que je finisse ma phrase l’autre avait choppé le bras de Stacy vraiment pas content que je l’ignore après ma mise en garde. Par manque de force il me fut voler la seule femme qui comptait vraiment. Je regardais alors méchamment l’homme qui allait répliquer. Enfin s’il aurait eu le temps… Je venais de lui foutre mon poing dans la figure. Il ne l’avait pas volé celle-là ! Il voulut alors sortir sa baguette mais je fus bien plus rapide pour le menacer au niveau de la gorge avec la mienne.

« Lâche-là… C’est un conseil… Je n‘hésiterais pas une minute. »

Stacy espérait au fond d’elle que cela ne tournerait pas à la bagarre. Elle ne voulait qu’il n’arrive rien ni à l’un ni à l’autre. Cela était étonnant car la logique aurait voulu que le fait que Stefen se ramasse un coup, n’aurait pas du l’inquiété, surtout après ce qu’il lui avait fait. Mais c’était plus fort qu’elle. Elle ne voulait qu’il ne lui arrive rien.
Lorsqu’elle entendit Stefen répondre, elle le regarda, un peu surprise par ses paroles, la femme de mon cousin,…
Elle le regardait toujours surprise parce qu’il venait de dire quand il lui fit face t lui annonça qu’il lui devait des explications. Ella aurait aime entendre la fin de sa phrase mais hélas elle n’y eu pas droit car Jacob venait de lui attraper le bras pour l’attirer vers lui.

Héééééééééé,…lâche moi tu me fais mal !

Mais il ne la lâcha pas même après le coup de poing qu’il venait de se prendre en plein visage. Il souria tout en regardant Miley.

Et bien dites donc, c’est qu’elle a un bon coup droit la ptite dame…

Stacy remarqua qu’il voulu attraper sa baguette mais Stefen avait été plus rapide et le menaçait déjà avait que Jacob ai eu le temps d’attraper sa baguette.

A la menace de Stefen, Stacy sentit que Jacob la lâchait, et elle fit un pas en arrière pour s’éloigner.
Elle les regardait alors tout les deux ! Elle qui venait de se faire briser le cœur avait deux hommes, enfin façon de parler, qui se battaient pour elle. Et qui plus est celui l’un d’entre eux était celui qui lui avait fait du mal. Mais pourquoi agissait il comme cela. Elle lui fallu plus d’une minute pour comprendre, le geste qu’il avait voulu commettre un peu plutôt, se fait qu’il défendait Stacy et les paroles qu’il avait dit. Mais oui c’est cela, il éprouvait quelque chose pour elle et regrettait son comportement !!!!
Il allait être difficile de lui pardonner mais cela viendrait pas après il fallait qu’elle intervienne si non cela allait tourner au drame.

Elle approcha et déposa sa main sur le bras de Stefen, le regarda et lui dit :

S’il te plait Stefen, arrête cela n’en vaut pas la peine. Ne commet pas quelque chose que tu risques de regretter par la suite. Tu ne crois pas qu’il y a déjà eu assez de blessé ces derniers temps.

Elle espérait pouvoir le calmer mais avait des doutes d’y parvenir.

Je gardais en joue cet homme. Je sentais que ça allait m’échapper d’un moment à l’autre. Qu’est-ce que je ne ferais pas par jalousie… Je me sentais mal aussi de faire vivre ça à Stacy mais c’était plus fort que moi. J’agissais et je réfléchissais après généralement. Gros défaut que parfois j’avais bien trop souvent. Mais comment se décoincer de cette situation ? C’est alors que Stacy arriva et déposa sa main sur mon bras…

« S’il te plait Stefen, arrête cela n’en vaut pas la peine. Ne commet pas quelque chose que tu risques de regretter par la suite. Tu ne crois pas qu’il y a déjà eu assez de blessé ces derniers temps. »

Elle n’avait pas tort… La voie de la sagesse. Elle n’avait généralement que rarement tort. Et là j’en était conscient. Je baissais alors doucement ma baguette en la gardant tout de même dans ma main au cas où… De l’autre j’attrapais alors la sienne en continuant à fixer le type…

« Je vous défends de tenter quoi que ce soit… Surtout face à un oubliator. Il serait dommage que j’use du sort d’amnésie sur vous… Vous allez donc rentrer gentiment chez vous et nous laissez tranquille. »

J’employais un ton ferme et catégorique exactement comme quand je devais donner des ordres à une équipe d’Oubliator. Généralement on m’écoutait à la baguette et à l’œil. J’étais plutôt persuasif tout de même. Je m’écartais alors en restant sur mes gardes. Seulement je ne voulais pas forcer non plus Stacy. Elle avait le droit de choisir. J’avais fait assez de dégâts comme elle l’avait si bien dit. Je lui lâchais alors la main.

« Je ne t’oblige en rien à me suivre mais je te promets toutes les explications que tu désireras si tu me suis… »

Il ne restait alors qu’à elle de choisir…

Stacy ne quitta pas Stefen du regard, elle avait trop peur qu’il ne se passe quelque chose. Elle croyait en Stefen en ce qui concernait son self contrôle mais en ce qui concernait Jacob elle n’en savait rien.
Elle espérait qu’en lui demandant de rester tranquille et de ne pas aggraver les choses, il l’écouterait et laisserait Jacob partir.
Elle fut heureuse de le voir baisser sa baguette et qu’il l’avait écouté.

Jacob, lui, l’écouta attentivement, mais resta sur sa défensive et ne bougea pas d’un pas.
Il ne voulait pas envenimer les choses mais il se tracassait pour Stacy.

Je vous rassure, je ne tenterais rien. Je ne bougerais que quand Stacy sera auprès de moi !

La jeune femme, le regarda puis reporta son attention sur Stefen et l’écouta quand il lui proposa de le suivre pour avoir des explications, sans pour autant l’en obliger.
Elle regarda alors Stefen puis Jacob, ne sachant pas trop quoi faire. Si elle suivait Stefen, elle savait qu’elle allait faire du mal à Jacob mais il se remettrait. Mais si elle venait à suivre Jacob, s’était Stefen qui serait blessé, et elle ne le voulait pas. De plus elle voulait savoir quelles explications il voulait lui donner.

Elle regarda Stefen sans rien dire et parti en direction de Jacob.

Excuse moi Jacob, tu ne vas peut-être pas comprendre et m’en vouloir, mais je ne peux pas te suivre, j’ai besoin de savoir pourquoi !

Mais Stacy, il t’a déjà fait souffrir, qui te dit qu’il ne va pas recommencer.

Je sais bien tout cela et je ne l’ai pas oublier. Mais n’avons nous pas droit à une deuxième chance et puis …

Elle n’achèva pas sa phrase, elle déposa un baiser sur la joue de Jacob et le regarda partir. Elle resta là, le dos tourner à Stefen.
Faisait elle le bon choix, elle le serait avec le temps.

Je regardais Stacy agir en cachant mon impatience. Autant vous avouez que j’espérais qu’elle me suive. Mais si elle restait avec cet homme alors j’aurais compris. Plus jamais je ne l’importunerais. Plus jamais elle n’entendrait parler de moi. Je la vis alors vers un pas vers cet homme. Je la regardais faire sans rien dire. Elle s’excusa alors auprès de Jacob si j’ai bien compris. Un nom pourri pour un mec pourri. Quoi ?! Oui je suis jaloux et alors ! Surtout avec ce qu’il lui dit ! Non mais quel crétin !!! Ça lui ait jamais arrivé à lui de regretter ses erreurs du passé et de vouloir changer ?! Pauvre type ! Je souriais quand elle lui dit que tout le monde avait le droit à une deuxième chance. Et toc ! Prend ça dans les dents ! Je la vis alors déposer un baiser sur sa joue alors que je grimaçais sans rien dire. De toute façon je n’étais pas en position de râler si je voulais la reconquérir. Cet homme finit alors par accepter et partir. Il est peut-être pas si citrouille qu’il en a l’air en fait… Il nous laissa alors seul. Elle me tournait toujours le dos. Bon et bien je crois que c’était le moment des aveux… Je m’approchais alors d’elle.

« Stacy… Je tiens à m’excuser pour mon comportement au ministère. Jamais je n’aurais du te parler de cette façon. Je n’ai pas d’excuse à fournir pour ma défense et je reconnais mon erreur mais je… »

Bon c’était pas facile de parler à un dos vous savez. Je finis par la contourner. Je n’avais pas la force d’un homme et je devais faire avec. Je me posais alors juste devant elle et de ma main je levais son menton de pas très haut comparé à si j’avais mon vrai corps, pour apercevoir ses yeux.

« En fait je ne cherche même pas à ce que tu me pardonnes… Je t’ai fait trop de mal pour oser te demander une telle chose… »

Bon là je tourne autour du peau. Rah mais je vais arriver à dire ce que j’ai à lui dire oui !

« Stacy je… »

Et non toujours pas. Ça voulait pas sortir. Je la regardais dans les yeux. Les mots étaient là mais jamais je ne les avais dit encore. De quoi j’avais peur. Moi avoir peur ? Et oui j’avais peur. C’était la première fois que je ressentais un tel sentiment. La peur de la perdre une bonne fois pour toute. La peur qu’elle ne ressente pas ce que moi je ressentais. Je comprenais alors tout le mal dans le passé que j’avais pu faire à de nombreuses femmes. L’amour à sens unique faisait bien plus souffrir que je ne l’aurais pensé. Quoi j’évite encore le moment fatidique même dans mes pensées ? Pas du tout voyons… Rah je sentais que je n’allais pas y arriver seul… C’était trop dur de le dire… Je n’avais pourtant pas le choix ! En fait je crois que je vais la laisser parler parce que sinon c’est mon cœur qui allait lâcher sous la pression…

Stacy n’avait pas bouger après le départ de Jacob. Elle se demandait ce que Stefen avait à lui dire, quelles explications avait il à lui donner.
Elle espérait ne pas se tromper en donnant une chance à Stefen de se tromper. Le fait qu’il avait voulu mettre fin à ses jours, l’avait énormément touchée et elle ne risquait pas d’oublier en tout cas pas pour le moment.
Elle entendit les pas de Stefen se rapprocher d’elle et l’écouta attentivement et s’en l’interrompre.

Quand il passa devant elle pour lui faire face, Stacy n’avait toujours pas bouger, il du lui relever le menton pour pouvoir voir ses yeux. La jeune femme était toujours silencieuse et aucun sentiment ne se lisait sur son visage, en fait pas encore.
Le fait qu’il s’excuse la touchait,car même si il était toujours dans un corps de femme, cela ne devait pas être facile pour lui de s’excuser.
Elle appréciait qu’il ne lui demande de lui pardonner. D’ailleurs elle ne savait pas si elle y arriverait, enfin sauf si elle avait une bonne raison de le faire.

Stefen, j’apprécie le fait que tu t’excuses de ce qu’il s’est passé au Ministère, mais je ne peux pas te cacher, ni ignorer que tu m’as fait énormément mal. Je parviendrais à te pardonner mais pour cela tu dois me donner une raison pour le faire.

Au fait, il ne suffisait que d’un mot et cela changerais peut-être tout. Elle parviendrait peut-être à lui pardonner ce qu’il lui avait fait endurer ces derniers temps, ce qui lui avait dit qu’il lui avait fait mal. Et peut-être accepterait elle de lui ouvrir son cœur à nouveau. Mais ce n’était pas à elle à faire le premier pas mais à lui. Normal, c’était lui qui l’avait perdu et non l’inverse. C’était à lui de lui dire ce qu’il ressentait pour elle, car lui il savait très bien ce que Stacy avait ressenti à son égard et ce qu’elle ressentait encore malgré tout ce qu’il s’était passé. Elle n’avait jamais ressentit quelque chose d’aussi fort pour quelqu’un et ce malgré avoir été blessée au plus profond d’elle. Elle devait peut-être, être folle, oui mais elle l’acceptait.

Lorsqu’il avait commencer à parler, Stacy ne le lacha pas du regard, espérant avoir d’autres explications mais rien, c’était comme si quelque chose le bloquait pour qu’il n’arrive plus à dire un mot

Oui Stefen, tu veux dire quoi…

Voyant qu’il ne parvenait plus à sorti un mot, elle lui souria tendrement et lui dit :

C’est à toi à dire les choses, tu sais déjà ce que je ressens mais en ce qui te concerne, j’ignore tes sentiments et j’aimerais bien savoir.

Elle le regarda avec douceur espérant qu’il allait lui répondre.

Me voilà coincé… J’étais en face d’elle… J’avais provoqué la situation et je n’étais même pas capable d’aller jusqu’au bout de ma pensée ! Enfin il ne fallait pas trop m’en demander. Je n’était qu’un serpentard et non un gryffon ! Oui mais voilà il me suffisait d’un faux pas et je la perdrais pour m’en mordre les doigts toute ma vie. Je la regardais sans réussir à rajouter un seul mot. Elle prit la parole mais ce qui me marqua le plus était ses dernières… « C’est à toi à dire les choses, tu sais déjà ce que je ressens mais en ce qui te concerne, j’ignore tes sentiments et j’aimerais bien savoir. » Elle venait de m’ouvrir une porte. Mais je n’y arrivais pas. C’était trop dur… Je commençais à faire non de la tête. Voilà que je n’arrivais pas à dépasser cette fierté que j’avais acquis avec le temps pour simplement lui dire ce que je ressentais. C’était trop bête mais je reculais. Je la regardais d’un air navré évitant son regard. J’en étais incapable.

« Je n’ai pas le droit de te faire ça… Comprends que j’ai besoin de souhaiter avoir d’autres choix que de te faire du mal encore. »

Et voilà je recommençais… C’était reparti pour un tour. Oh certes je le faisais avec plus de tacts qu’au ministère puisque là je lui disais que c’était parce que j’avais peur qu’elle souffre. En fait peut-être valait mieux être précis… Seulement son regard à cet instant était pire que tout ceux que j’avais croisé jusque là. Un regard de reproche et de douleur. Je m’en voulais terriblement. Son regard finit par orienter légèrement mes paroles sans vraiment que je fasse attention. Je lui tournais le dos tout de même n’osant même pas l’affronter une fois de plus.

« Je sais, je ferais mieux d’arrêter d’essayer. Je ferais mieux d’arrêter d’y croire. Je te dis que j’ai peur que tu souffres et qu’il vaut mieux pour toi que tu m’oublies et voilà que je te fais souffrir une fois de plus ! Je sais c’est irréparable. Mais ça me tape sur les nerfs, ça me rend fou. Il suffirait d’un mot mais je n’arrive même pas à te le dire ! »

Je finis par me retourner pour m’approcher d’elle et prendre sa main sans le lui demander la poser contre mon cœur.

« Tu sens ce cœur qui bat… La vitesse anormale à laquelle il se trouve ? J’en perd le contrôle à chaque fois que je suis prêt de toi. Je perds complètement pied ! Je crois tout contrôlé seulement et il te suffit d’un mot… d’un geste… d’un regard et tout s’effondre. Tu es différente. Tu fais de moi un homme différent de ce que j’ai pu être dans le passé. Un homme qui parfois me fait peur parce que je ne sais pas de quoi il est capable. C’est comme si avec toi je nageais dans un parfait brouillard. Comme si je n’avais d’autres choix que d’apprendre à me laisser guider par toi. C’est nouveau pour moi. Jamais une femme n’avait réussi à me faire cet effet-là. »

Je lâchais sa main pour reculer. Voilà que mes paroles s’enflammait. Que je ne contrôlais plus rien de ce que je disais. Que mon cœur parlait tout simplement. Je vins alors m’appuyer contre un arbre à à peine un mètre d’elle. Je ne cessais de la regarder en souriant.

« Loin de toi je souffre de douleur… Près de toi je souffre d’amour… Tu me rend complètement fou. Mais fou de toi. J’en ai la tête qui tourne… Jamais je n’aurais eu autant envi de prendre une femme dans mes bras. Simplement dans mes bras sans rien demander de plus. Juste pouvoir la protéger et voir son sourire chaque jour. Et malgré tout ça je n’arrive même pas à te le dire. Pourquoi ? Par fierté ? Parce que jamais je ne l’ai dit dans le passé ? Peut-être un peu des deux ma belle mais il faut savoir qu’un homme peut parfois être très con… »

Je finis alors par me décoller de l’arbre et revenir à elle doucement. Arrivée en face d’elle je baissais le regard. Comme la première fois que je faisais cela. Signe de soumission d’habitude pour moi et pourtant aujourd’hui j’étais prêt à ça pour elle…

« Je ne peux te promettre que dans un an… dix ans… ou même pour la vie ce sera comme aujourd’hui de peur de mentir une nouvelle fois. Mais ce que je peux faire c’est essayer de te dire la simple vérité d’aujourd’hui. C’est comme recevoir la foudre sur soi… Combien de chance pourrais-je avoir de trouver quelqu’un comme toi ? Un chance sur mille ? Un million ? Un milliard ? Il ne reste plus beaucoup de monde. Et si ma seule chance c’était toi ? Serais-je en train de la briser en voulant t’éloigner de moi ? Je pensais que la meilleure solution pour toi serait que je parte. La peur de déraper. Mais je me rend compte que sans toi c’est pas possible. Je crois que je vais devoir être égoïste une fois de plus… Parce que je veux pouvoir moi-même te mettre en sécurité… t’empêcher de tomber… te rattraper par tous les moyens. Je ne peux me résigner de donner cette tache à un autre. Ça m’en rend malade ! Pourquoi ? Parce que où que tu sois mon cœur est près de toi… »

Je lui pris les mains une fois de plus pour les embrasser. Peu importe que je sois une femme en apparence. Peu importe que du monde nous regarde. Je m’en foutais totalement. Je ne pouvais plus m’en cacher. Pris alors à mon propre jeu, je ne pus que lui dire les mots qui me manquaient :

« Stacy… Je t’aime… »

Et croyez-le ou non mais j'étais sincère... Je sentis alors doucement mes doigts me picoter. Mais je ne voulais pas la lâcher. Je faisais tout pour lutter mais je sentais un vertige s'emparrer de moi. Je n'eus alors d'autres choix que de finir par reculer à contre coeur alors qu'un halo de lumière m'entourait peu à peu. Les picotements me prirent alors sur tout le corps qui se souleva légèrement pour provoquer une forte lumière aveuglante sur l'entourage alors que je sentis une vive douleur qui s'estompa aussitôt pour que je retombe au sol lourdement. Ma tête tournant alors encore je me relevais doucement pour m'asseoir ne comprenant pas ce qu'il venait de se passer. Ce n'est que quand je vis la différence de vêtements sur moi que je compris... J'avais retrouver mon apparence. La taille de mes mains le confirmait. Je remarquais que Stacy était à mes côtés l'air inquiète. Et vous savez qu'elle est alors la première chose que je fis en tant qu'homme ? Je posais ma main sur sa joue pour l'attirer délicatement à moi et l'embrasser tendrement en la prenant dans mes bras...

Stacy, lui faisait face et ne voulait pas le quitter du regard, en tout cas pas tant qu’il ne lui avait pas tout dit. Mais ce qui allait suivre Stacy ne s’y attendait vraiment mais alors vraiment pas du tout. Ni au fait qu’il allait lui tourner le dos pour lui parler.
La jeune femme resta sur place et l’écouta sans plus rien.
Au début, Stacy ne comprit pas ou il voulait en arriver, le fait de lui faire encore mal et que cela le rendait fou.
Mais ce qui suivit, rendit les choses plus claires.
Lorsqu’il lui fit de nouveau face et qu’il lui pris la main pour la déposer sur son cœur, Stacy le laissa faire !
Le fait de sentir sa peau, lui rappela l’époque qui s’était passée avant cette malédiction.

Quand il lui parla des battements de cœur, elle pu en effet le sentir. Elle fut surprise par le fait qu’elle provoquait autant de sentiments et d’émotions chez Stefen ! D’ailleurs elle ne su quoi dire à part de lui sourire. Elle savait qu’elle l’aiderait pour sortir du brouillard.

Je t'aiderais à sortir de ce brouillard, lui avait-elle dit.

Elle n’avait jamais douté qu’un jour il pourrait changer et qui sait cette malédiction l’avait fait changer au fond de lui !
Quand elle le vit reculer, elle ne bougea pas mais continua à le regarder et son regard qui n’était ni douloureux ni rempli de reproche, était un regard doux et rempli de tendresse.
Elle préféra le laisser continuer à ce qu’il avait à dire, à ce qu’il avait sur le cœur. Et elle avait bien fait.

Lorsqu’au moment il recommença à parler, Stacy l’écoutait mais plus il avançait plus cela touchait la jeune femme et les larmes commencèrent à lui monter au yeux. Jamais au grand jamais on ne lui avait parler de tel manière ni ouvert son cœur de la sorte. Venant de Stefen, cela lui était très précieux, vu son passé.
Lorsqu’il lui parla du fait que quand il la voyait il n’avait qu’une envie, celle de la prendre dans ses bras et de la protéger, il ne pouvait pas s’imaginer le nombre de fois qu’elle avait envie qu’il la prenne dans ses bras,car il était vrai, elle s’y sentait bien et protégée.

Elle le regarda revenir vers elle, et remarqua qu’un fois à sa hauteur, il avait baisser le regard. Elle n’essaya pas de trouver son regard et le laissa continuer. Quand il continue à lui livrer ce qu’il ressentait, les larmes qu’elle essayait de contenir se mirent à couler toutes seules sur ses joues. Et oui il la faisait pleurer mais pas pour les mêmes raisons qu’auparavant !
Quand un fois fini, il lui pris les mains et elle lui sourit. Il ne fallu pas longtemps avant qu’elle n’entendit ce qu’elle souhaitait entendre. Elle se foutait bien de ce qui se passait autour d’elle et si il y avait du monde car même si pour les autres c’était une femme qui se trouvait en face d’elle, pour elle c’était celui à qui elle avait, ouvert son cœur…
Maintenant, elle en était certaine, il l’aimait. Certes cela lui avait été difficile à dire, mais pour la jeune femme c’était normal surtout si il s’agissait d’un nouveau sentiment pour lui

Lorsqu’elle voulu prendre la parole, elle remarqua quelque chose d’étrange qui arrivait à Stefen et elle le vit s’écarter d’elle, puis une halo de lumière l’entourait. Stacy fut tétaniser par ce qui se passait et en quelques secondes fut aveugler par une forte lumière blanche.
Il lui fallut quelques secondes de plus pour pouvoir revoir correctement.
Quelle ne fut pas surprise de redécouvrir Stefen sous sa véritable apparence. La malédiction était donc levée. C’est alors qu’elle se précipita auprès de lui pour s’assurer que tout allait bien.
Elle s’accroupit à sa hauteur guettant un mouvement ou un geste de sa part assurant que tout allait bien. Lorsqu’elle le vit tendre son bras et déposer sa main sur sa jouer pour l’attirer à lui. Avant qu’il ne l’embrasse Stacy eu juste le temps de dire :

Moi aussi je t’aime Stefen.

Tout en l’embrassant elle déposa sa main sur la sienne.

Et voilà comment devenir complètement accro à une femme alors qu’on pourrait en avoir des millions. Je la serrais tout contre moi. J’avais si peur de la perdre une seconde fois. La sentir contre moi ça faisait un bien fou. Je restais là sans bouger à la tenir dans mes bras et pouvoir sentir son parfum. C’était une réelle délivrance. Seulement on allait pas rester là comme ça en plein milieu du chemin… Je finis alors par me relever en l’aidant à en faire de même. Je gardais tout de même ses mains dans les miennes. Si je pouvais lui promettre de rester je le ferais mais je ne voulais pas passer pour un menteur si un jour ça se passe mal. Seulement qu’elle ne s’inquiète pas. Je ferais tout pour la garder. Je souriais alors en la regardant dans les yeux. Je posais ma main sur sa joue avec délicatesse. Elle devenait le trésor le plus précieux à mes yeux. Comment une femme avait-elle pu réussir à s’accaparer mon cœur de cette façon ? Je l’ignorais… Mais c’était un fait. Et peu importe ce que les autres pensent, je ne pouvais pas vivre aujourd’hui sans elle.

« Viens… Allons nous en. »

Je glissais alors ma main sur sa joue le long de son bras pour avoir sa main. On serait peut-être mieux dans un coin plus tranquille. Surtout que je ne disais rien mais j’étais un peu sonné par la transformation et ça tournait encore un peu. Mais je savais que ça passerait. On finit alors par partir. Où ? C’était encore à voir mais du moment qu’elle était près de moi personnellement je m’en foutais complètement…

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