Répartition de Windy Watson

I] Civilité
Nom : Watson
Prénom : Windy, Lindsay, Ambre, Perdita (deuxième du nom). Aimée. [donné par Honey]

Date de naissance : Le 6 Avril 1996 naissait Windy.
Lieu de résidence : Chemin de traverse, derniers étage au dessus d’Olivanders. Dans un appartement miteux, dont le sol en bois craque à chacuns de ses pas, cependant, Windy s’adonne chaques jours à le personnaliser et à lui donner du chient, chose plutôt réussie pour le salon qui avec ses murs de briques et sonparquet usé donne une impression classe de grunge soigné.

Avatar : Willa Holland


Présentation physique (50 mots environ) :


I. GENERAL.
Des yeux d’une nuance grise et dorée, une peau laiteuse et blanche, aux grains de beauté si peut nombreux, une figure joyeuse de nouvelle adulte…Windy c’est ça, une poupée au sourire énigmatique. Grande et ayant une silhouette de mannequins, question proportions, car au niveau du ventre il lui reste les rondeurs de sa jeunesses qu’elle n’a jamais vraiment perdue. N’ayant pas hérité de la grâce légendaire de sa mère, elle reste tout de même un sacré bout de femme. Longue jambe, long bras, mains fines…Cependant, elle demeure une fille basique, et ne possède pas un charme qui la détache de tout le monde, elle à juste son petit air incertain qui peut faire que dès le premier regard on aurait tendance à bien l’aimer. Elle aime bouger de manière fluide et adore être chargée de sac de mode modlue, elle trouve ça « rassurant », ça lui donne l’impression d’être riche, ce qui n’est qu’une illusion. Et ayant vécut dans le monde moldu pendant trois ans, elle apprécie particulièrement se vêtir avec des habits trouvés dans leur monde, qu’elle tente d’accorder le mieux possible, histoire de se démarquer des autres. Sa voie est fraiche, et sonne dans les aigus plus que dans le grave, mais demeure étrangement « neutre ». Bien sûre tout le monde à un timbre précis, mais Lindsay, elle, à une voie qu’on jugerait de commune. Outre le fait que pour certaines personnes sa voie serait qualifiée par les mots : douce, imperméable, expressive et plate à la fois. Ses cheveux son châtains, il penche autant vers le brun que vers le blond, ses yeux sont comme dit au début d’une nuance entres le doré et le gris et la demoiselle prend très soin d’elle, ou du moins prend le temps de se peigner tout les matins. Son visage oscille entre l’ovale et le rond et semble être une sorte de mélange des deux. Quand Lindsay parle c’est toujours avec une banalité ou un entrain déconcertant, et elle en fait jamais les choses à moitié. Vous rencontrerez Windy une fois, et vous la retiendrez pour (presque) toujours.


II. DE PLUS PRES.
Le style vestimentaire détaillé de Windy ? Bien. Vous voyiez les moldus avec leur style...Comment disent-ils déjà ? Ah oui, Retro. Hé bien ce n'est pas exactement Windy. Non. Windy favorise les longues bottes en cuir rouge, vert, bleu électrique et noir. Jamais de blanc, c'est moche. Sauf pour les mariages. Elle affectionne le style avec soit beaucoup de couleurs soit avec un mélange étonnant. Prenons du marron et du bleu turquoise, du rouge et encore du marron, ou bien du rouge et du vert. Elle aime les jupes, et ses longues bottes, les pulls extra-larges et les tuniques, et affectionne les coiffures qui intensifie le fait qu'elle à des cheveux légèrement ondulée. Elle aime être chargée d'un sac, surtout si ce dernier est d'une couleure verte ou bleu et qu'il est en cuir (aller savoir pourquoi). Favorisant le non magique à la magie, elle peut cependant emporter beaucoup d'ingrédients à propriétés superflues, par précautions.

Le visage détaillé de Windy ? D'abord ses yeux. Oui ses étonnants yeux a la lueure cuivre dont je parle tellement. Ils reflètent le passé de Windy par leur teinte grisâtre, et les crimes qu'elle a put commettre par leur lueur or/cuivre. Cependant l'étincelle de joie qui y reste permanente souligne qu’à présent tout va bien, qu'il ne faut pas s'en faire. Après sa bouche, fine, d'une rose assez claire, elle s'agite souvent quand elle parle et forme des sourires si sincère qu'ils seraient à en tomber par terre si ses lèvres avait été moins fines. Puis son nez, fin, petit, il n'est pas de ceux qui sont omniprésent et que l'on remarque à chaque fois et qui nous causent tant d'ennuis. Discret, sans pour autant disparaître et faire horrible ou étrange, il est des nez qu'on qualifierai "mignon" et qui donne une touche d'enfant à la demoiselle.



Baguette : Bois de cerisier et écailles de sombralles, elle est solides, mesure 38 cm et possède d’étranges gravures abstraites un peut partout, dispersée.
Histoire : "Windy…, à ce moment là, Windy se redressât et ouvrit les yeux. Alice semblait mort vivante avec tous ce sang, elle sortit de sa poche un bâton intacte, il était étrange, et possédait des inscription un peut partout, comme des gravures. Puis Alice tendit sans se lever le baton, Windy tendit son bras, et réussit non sans mal à l’attraper., puis Alice poursuivit d’une voie empreinte d’une mélancolie étrange : -Ecaille de sombrales, fait en bon usage….Hein…., puis elle fermât les yeux, une petite larme semblât scintiller au coin de son œil gauche, puis elle devint froide."


III]Caractère (100 mots environs): Disons, tout d'abord, que depuis son enfance Windy a beaucoup évoluée. Elle a appris énormement de choses aussi, qui ont influencées cruellement le déroulement de sa vie, et donc de son ésprit et de tout son être. Avant, Windy se caractérisait par une attitude nocturne, tranchante, et parfois désagréable. Il faut aussi souligner que c'est en partie à cause de l'enfance qu'elle ne vivait pas facilement, et il y avait de quoi. A l'époque, Windy n'était pas encore aussi fière et favorable aux relations sociable qu'elle l'est aujourd'hui. Cependant son sens de la curiositée et du bonheure était déjà bien poussé, malgrès les malheurs qui lui arrivait (enfaite ils ne faisaient qu'augmenter le tout). Par contre, elle avait tendance à vite changer d'avis et à être très immature coté organisation et tout le reste, elle croyait souvent avoir raison alors qu'elle se trompait, et n'arrivait pas à en vouloir assez à ses parents malgrès le mal qu'ils lui faisaient. Elle n'arrivait pas à se mettre en avant et en souffrais beaucoup à la maison. Sinon, elle était passionée par les surpprises que lui réservaient la vie, et adorait en apprendre encore et encore sur le monde extérieur avec qui elle n'avait que peut de contacts, outre l'école à laquelle elle allait peut, elle restait à la maison pour étudier 2 jours pas semaines ou trois, et les rares fois où elle sortait au parc pour voir Alice qui était à l'époque sa seule amie, avec la femme de ménage Elly.

Par la suite, Windy débutât une phase légèrement plus fluide et facile coté relation sociales, qui fut surtout due à la naissance des jumelles, bien que une ne lui ai pas été entièrement favorable, mais passons. Elle apprit à accepter la dure réalité et à pardonner comme elle pouvait, mais encore gamine il lui fallut du temps, et le décès d'Alice quelques mois avant la naissance de Honey et April n'arrangeât rien.

Puis par la suite, Windy grandit pour se transformer en jeune femme, qui à présent à 23 ans.
Très compliquée et difficile à suivre, elle n’est pas le genre de filles en lesquelles on lit comme dans un livre ouvert, ou presque. Energique, heureuse pour un rien, elle cueille les brins de la vie comme on cueille un tournesol : vite, mais avec précaution. Très active on pourrait dire qu’on ne s’ennui jamais avec elle, et c’est presque un défaut, car par delà son caractère de sportive (sportive du shopping…) elle est une jeune fille extrêmement lunatique, ce qui fait que beaucoup de gens lui reproche de ne pas se faire comprendre. Windy est le genre de femme qui fait semblant d’en dire beaucoup pour finalement ne rien dire, laissant alors aux gens l’impression qu’ils la connaissent mieux que quiconque alors qu’ils ne savent enfaite pratiquement rien, juste ses gouts de mode, et encore. Passionnée par la vie à cause de ce qu’elle à put vivre, elle ne rate aucune occasions pour voyager, bien que ce soit sûrement le faite que sa vie d’adulte responsable commence tout juste. Cependant très sérieuse quand il sagit de troubles psychologique, d'alcoolisme, de problème sociaux où parentaux, etc. Elle fait preuve d'une rare maturité à coté de la mine et du tempérament de gamine en feux qu'elle affiche en général. Pour clore tout cela, il faudrait souligner que son choix de métier, médicomage, marquât définitivement que Windy avait changée et qu'à présent elle favorise l'aide, plutôt que les problèmes.


IV]Ambitions pour le personnage :
Elle souhaite percer dans le milieu de la medecine des sorciers, et à aussi une attirance poussée vers l'étude des objets moldus, ayant vécut dans ce milieu quand elle était jeune, cependant, elle se concentre sur sa carrière de médicomage plus que sur autre chose et ne conserve pas vraiment d'autres ambitions, outre avoir des mornilles pour arranger son appartement.

V]Dons :
Windy ne possède aucunes facultés spéciales.

VI] Métier désiré : Medicomage a Saint Mangouste.

VII] L’attente :
Windy était assise sur une chaise, le regard dans le vide elle semblait autre part. Bientôt. Bientôt cette porte s’ouvrirait pour laisser passer un individu, et il dirait son nom d’une manière sèche et sérieuse, et il l’inviterait à entrer, et il l’inviterait à s’assoir et…Et. Beaucoup de et, beaucoup de choses. Mais cette porte, cette FAMEUSE porte, ne s’ouvrait plus depuis trois heures, depuis qu’un homme avec un grand chapeau était entré. Nerveuse, Windy tapotait contre sa cuisse avec ses ongles manucuré, qu'elle avait hâte ! Et qu'elle redoutait ce moment, aussi. Elle se remémorât quelques trucs, en évitant de replonger dans son passé comme elle le faisait toutes les nuits, puis elle reportât à nouveau son regard sur cette porte. Elle était blanche, grande, et un article de la gazette sur un certains Jeusoigntou était accroché à l'aide d'une punaise moldue. Ce détail amusât beaucoup Windy qui n'avait pas l'habitude de voir beaucoup d'objet non magique ici, et lorsqu'elle s'en approchât, en se levant car intriguée par l'objet, la punaise lui hurlât à la figure qu'il ne fallait pas voler les objets plafonné aux murs ou aux portes. Gênée, elle allât se rassoir, rouge comme une pivoine. On la fixait, tant pis, qu'elle avait été bête de croire qu'un objet moldu avait put s'introduire ici. Saisissant son sac vert chewing-gum/bouteille, elle relut mentalement son "CV", et révisât les aptitudes et les sorts de soins. Tout serait bien, elle ne devait pas s'en faire.

Finalement, elle rangeât le tout et étudiât à nouveau les environs, un long couloire blanc et bleu qui n'en finissait pas faisait office de salle d'attente devant des milliers, ou plutôt des centaines, de portes toutes blanches avec des numéros gravé en lettre d'or tinté de rouge, dessus. Elle étudiât ensuite les gens qui attendait et se surpris à sourire à un jeune homme un peut plus loin, finalement, gênée à nouveau, elle retournât la tête et se concentrât. Elle DEVAIT avoir le poste, elle le désirait tellement, elle voulait tant aider les gens. Elle repensât une fois à Alice et dans l'état dans lequel elle l'avait vu pour la dernière fois, et tressaillit. Aurait-elle la force de supporter la vue de blessures plus grave ? Au moins, ici, la magie était permise. Elle reprit des couleurs et soupirât. Plus que quelques heures, et la porte s'ouvrirait, sûrement. Seulement, contre toute attente, ce fut à ce moment-là, qu'une voie claironnante lui annonçât qu'elle pouvait entrer.


VIII] Code
Carmine

La Famille Watson était connu pour être de ces familles lugubres et dont personne n’avait jamais vut l’intérieure de leur logement. En effet, pas même la concierge de l’immeuble était dans la possibilité de décrire de quelle manière ils l’avaient aménagés et comment ils vivaient. Cependant, c’était presque une chance pour les habitants de cet immeuble que d’ignorer ce qui se passait à l’étage numéro 3 à la porte numéro 18. Une chance, vraiment. Y vivait, dans ce fameux appartement, un homme et une femme âgés d’une trentaine d’années et de quelques poussières, plus leur fille qui portait le prénom de « Windy ». Windy était de ces petites filles qui ne vivaient pas bercée dans l’amour maternel et fraternel, et dans un univers Rose bonbon encerclé de conte et d’autres choses. La seule chose qui permettait à la petite de s’évader un temps soit peut était sa meilleure amie, Alice, qu’elle gardait secrète jalousement de peur que ses parents ne l’empêche de la voir. A l’époque où Windy avait connue Alice elle avait tout juste 7 ans et se promenait dans le parc tandis que sa mère faisait les courses, c’était un jour de pluie comme les autres, et ce qui attirât Windy chez Alice, fut sûrement que sa chevelure blonde cendrée éclairait d’une lueur étrange le reste du parc, alors qu’il faisait gris.
Jusqu’à maintenant, cependant, Windy s’était contentée de voir sa meilleure amie le plus possible, tout en le cachant à ses parents, et elle n’avait en rien tenté de leur expliquer qu’elle ne supportait plus l’ambiance macabre qui régnait en ces lieux. Mais aujourd’hui, tout était différent. Windy allait avoir 8 ans et elle sentait la différence qu’il y avait entre Alice et elle, elle n’avait pas de jouets alors qu’Alice lui en amenait pleins chaques fois et si Alice était vétue de jolies robe, Windy, elle, portais de simple robe légère et peut appropriée à l’hiver. Et à l’âge de Windy, bien que la compréhension de la situation ai été complexe, l’on avait la vacheuse manie de poser les bonnes questions. Et c’était aujourd’hui que Windy s’était acoudée à la table, alors qu’il pleuvait, pour demander d’une voie timide à sa mère :

« -Maman, pourquoi je ne sort jamais ?, elle redoutait déjà la réponse.
- Mais bien sûre que si, tu sors assez. Une fois par mois te suffit à prendre l’air, inutile de découvrir plus que ça le monde du dehors, il n’a rien d’intéressant, tu sais. Je ne pense pas non plus que cela t’apprendra des choses favorables à ton éducation, qui plus est. répliquât-elle sèchement.
- Pourquoi n’ais-je point de jouets, alors ?
- Il est inutile d’avoir des objets de petite fille lorsqu’on a les livres. Tu ne t’évade pas assez avec eux ? Ne sont-ils pas suffisant ? Si. Alors file dans ta chambre et ne continue pas cette discutions, ou tu le regretteras amèrement, je n’apprécie pas ton comportement ces temps-ci ,tu devient insolente. File ! »

Windy ne se fit pas prier. Sa mère était toujours ainsi lorsqu’elle sentait que Windy cherchait à en savoir plus, elle déviait le sujet en prétextant une mauvaise conduite pour l’obliger à filer. En parlant de conduite, sa mère avait la fâcheuse manie d’apprendre à Windy à parler soutenut alros que l’époque à laquelle ils vivaient ne favorisait pas du tout ce genre de choses. Heureusement, comme disait Grâce, qu’il y avait les livres, car dans les livres qu’elle se procurait avec Alice, le soutenu n’était pas à la place d’honneur, et cela faisait un bien énorme à Win’. Pour encore appuyer sur le fait que sa mère souhaitais avoir pour sa fille l’éducation d’une parfaite anglaise noble, elle lui avait octroyé deux ou trois prénom en plus du sien : Lindsay, Perdita, et Ambre. Perdita était, selon les dires de sa mère, le prénom de sa grand-mère (à Windy), et le sien (à sa mère), et la coutume était que Windy en hérite à son tour. Ce jour-là Lindsay (Windy) s’était demandée à quoi pouvait bien ressembler sa grand-mère, était-elle, elle aussi, à cheval sur les coutumes et les manières ? Etait-elle aussi sèche et arrogante que sa mère ? Beaucoup de questions auxquelles Windy n’avait jamais obtenu de réponses. Mais revenons à Windy en ce moment. Accoudée maintenant à la vitre de sa minuscule chambre, elle fixait la pluie et les gens aux dehors, certains riait, d’autres parlait simplement, et au loin, il y en avait même qui s’égueulait. Etrangement, la perspective d’une dispute en ce moment aurait enchantée Windy qui en avait plus que marre de ne pas pouvoir pousser sa gueulante une fois pour toute. Depuis toute petite elle n’avait jamais eu le droit d’exprimer son avis et de dire ce qui lui aurait fait plaisir. Pour remède, quelque fois, sa mère avait crut bon de lui faire preuve d’attention et d’amour, et elle avait vu juste. Seulement il faut savoir que les enfants n’étant pas idiot, Windy avait dès l’or déjà commencé un temps-soit peut à douter de la sincérité de cette amour, mais sachant qu’il n’y en aurait pas d’autre, elle s’en était contentée. Lindsay aimait beaucoup sa mère malgré tout ce qu’elle faisait, surtout parce que à son gout elle avait un courage énorme pour supporter son père et pour l’aimer tel qu’il était. Son père. Son père était comme sa mère, sauf qu’il n’était jamais là, il favorisait une éducation dure et riche à une éducation douce, sincère, et pleine d’attention amoureuse (fraternellement parlant). Cependant vu qu’il n’était jamais là, Windy ne pouvait presque pas lui en vouloir, puisqu’elle ne le connaissait qu’à peine, ou presque. Les week-ends, il était toujours-là, et c’était pendant cette période que Windy tentait de se rapprocher de lui le plus possible, sauf que c’était toujours un échec puisque son père était aussi doux qu’un volcan en effusion. Mais au milieu de tout ça, il restait Alice, puis Elly. Elly (Elizabeth) était la femme de ménage, malgrès leur pauvreté ses parents avait réussit à se payer une bonne, et dans la maison c’était bien la seule personne sur qui Windy comptait vraiment. Elle était encore assez jeune, et sa présence apportais de la fraicheur, heureusement Windy s’arrangeait pour lui parler, malgrès l’interdiction de sa mère, et elle apprenait par ce biais encore plus de choses sur le monde éxterieur, ce qui ne faisait que la rendre plus heureuse. Car le bon point dans tout ce malheur, était bien que chaques petites choses de la vie était vut d’un bien meilleur angle par Windy que si elle avait été pourrie gatée. Ce qui faisait que le dimanche, où son père se radoucissait le temps d’une après-midi, elle se délectait à la puissance-mille du gout du flan au chocolat que préparait sa mère, ce qui faisait que le mardi lorsque Elly venait alors que sa mère était absente, c’était une après-midi sublime qu’elle passait, s’amusant avec la bonne, bien qu’elle l’appellait toujours Elly ou avec ses parents : la femme de ménage.

La journée avait commencée d’une manière normale. Le soleil avait percée les fenêtres sans rideaux de Windy, comme chaque matins, et la fillette s’était réveillée avait un mal au dos sans précedent. Elle s’était ensuite levée pour aller déjeuner, avait manger le plus lentement possible, et était partie se doucher pour ensuite s’habiller de la seule robe propre qui lui restait. Sa mère était rentrée avec pour une fois de nouveaux habits, dont des pulls pour l’hiver etc. Et Windy avait donc eu une bonne raison de qualifier la journée d’agréable. Cependant, tout cela ne pouvait pas durer bien évidement, et son père était rentrer en trombe visiblement énervé et avait forcé Windy à faire encore 3 exercices de maths, rien de plus barbant. Pourquoi s’éfforcait-il à lui interdire d’aller à l’école TOUS les jours, pour rester ici à apprendre des choses innutile (ou presque) ? Puis son père était repartit au boullot qu’il avait dut quitter précipitement à cause d’un problème de gaz visiblement dangereux. C’est à ce moment-là que la journée était devenue intéressante.

« -Mère, puis-je, silvouplait, elle ajoutât ce mot en levant les yeux au ciel discretement, sortire pour me promener au pââârc ?
-Non. Répondit-elle sèchement. Ouh, la claque !
- Et..Et pourquoi ? Demandât-elle, incrédule.
-Tu n’es pas habillée correctement, regarde-moi ça ! Tu n’as mis aucuns pulls, pas de collants, ni de botte ni de manteau ! A quoi servent les habits que j’ai achetté hier, pour te faire plaisir ?
C’était faux, Windy en était persuadée : sa mère ne faisait RIEN pour lui faire plaisir. Mais elle s’empourprât de la tête au pied avant de filer s’habiller. Elle avait compris le message.
-Voilà, mère.
-Bien, tu peux sortir. Ne revient pas trop tard, et dit toi bien que nous somme très généreux de te laisser sortir, à ton âge. »

Windy savait encore une fois, que c’était faux. Sa mère était bien arrangée de se débarrasser d’elle. Mais elle n’osât pas le souligner, de plus, elle était contente de pouvoir sortir, et elle savait déjà où aller.

Elle retrouvât Alice au parc de d’habitude, ce matin était frais, mais les nouveaux habits de Windy lui tenait chaud, et elle était super heureuse de ressentir enfin cette impression de chaleur. Elle s’emmitouflât un peut plus dans sa longue écharpe et commençât à rigoler tout seule, qu’elle était contente ! Elle ne savait pas ce qui c’était passé, mais elle avait enfin des habits chauds, bien etc. Elle s’approchât de leur banc habituel d’une démarche hésitante : et si Alice n’était pas là ? Mais elle chassât vite cette idée d’un revers de main, car déjà elle voyait la chevelure dorée de son amie qu’elle s’empressât ensuite de rejoindre. Elle était vêtue d’une belle robe noir au dessus de laquelle un manteau noir aussi était revêtu, ses bottes longues était rouge et son collier aussi et ses yeux émeraude transperçait Windy comme un révolver, pourquoi la fixait-elle ainsi ? Elle finit par prendre place à ses cotés, un peut gênée, et reportât son intention sur le parc. Tous les arbres étaient démunis de leurs feuilles et ils semblaient vraiment en piteux états, sans toute leur verdure. Windy eu un moment l’étrange impression de voir son reflet dans un arbre minuscule et tout maigre, ce qui la fit frissonner. Finalement elle retournât son intention sur Alice qui elle était aussi muette et fixait le vide.

« -Lice’ ? Qu’est ce que tu regarde ?, s’enquit Windy, curieuse.
-Rien du tout, j’attendais que tu me parle.
-Ah…, Windy était gênée, hé bien c’est fait ! Ahah.
Le rire gênée de Windy fit rougir Alice., Heu, oui. Que racontes-tu de beau ? Du « news » ?
- Pas grand-chose, outre mes nouveaux habits, elle esquissât un sourire, sinon je suis contente de te voir. Et puis…, elle hésitât, quelque chose au fond d’elle lui disait de lui parler de « la chose » qu’elle vivait depuis quelques jours, et puis rien.
Visiblement Alice remarquât le gêne de Windy car elle finit par demander d’une voie légèrement vexée, et intriguée : - Ah oui ? Tu es sûre ? Hm. Moi rien de bien nouveau, je n’ai pas de nouveaux habits comme toi, étrangement sa voie sonnât moqueuse, et je me porte bien. Je suis aussi contente de te voir Win’, son sourire doux apaisât Windy qui avait sentit la moquerie dans son regard et dans sa voie, Mais tu es sûre que tout va bien ? Tu n’as rien à me dire ? Certaine.
-Certaine, assurât Windy avait autant de sincérité qu’elle pouvait. Désolée d’être pauvre, en passant., balançât-elle un peut fâchée.
-Oh, Windy ! Je plaisantais., ses yeux semblait dire le contraire. Mais ne nous fâchons pas !, pour une fois elle avait l’air sincère. Seulement, tu es sûre qu’il ne se passe pas des choses…Bizard, autour de toi ?
Windy paniquât, comment savait-elle ?! »

Depuis quelques jours il arrivait des faits étranges à Lindsay (Windy), des faits inexplicables. Avez-vous déjà eu l’impression que indépendamment de votre volonté il se passait des choses ? Oui bien sûre, mais je parle-là des choses dont vous seriez l’auteur sans vous en rendre compte ? Avez-vous déjà eu cette impression ? Hé bien c’est celle que depuis quelques jours Windy s’efforçait de garder secrète. Mais en croisant le regard d’Alice elle avait compris que cette cachotterie ne durerait pas, et elle s’était maintenant empréssée d’ajouter :

« -Si…Je…Je crois que je fais des choses sans m’en rendre compte, pas des choses qui relève de la schyz..schozy…
-Schyzophrénie.
-Oui voilà, mais plutôt des choses presque…Magiques. Je sais c’est bête, mais j’ai l’impression que quand j’en veux à mes parents, des choses comme de la vaisselle tombent, sans que personne ne les ai poussées, c’est presque effrayant., achevât-elle en frissonnant.
-Je connais ça., répondit platement Alice, c’est de la magie. Lorsque l’on est sorcière, nos pouvoirs se manifestent tôt, ou tard, mais au moins avant onze ans, en général, cela se manifeste indépendament de notre volonté sans que le sujet qui subit ces manifestations n’en soit consient. J’ai lu ça dans « La magie et moi. » de Jess Etou. Ne me regarde pas comme ça ! C’est gênant…Mais je ne me moque pas de toi Win’, hein…, pour une fois Alice semblait une autre, plus jeune, moins mature, et à la fois beaucoup plus au dessus que Lindsay (Windy).
-Heu…Ahahahaha ! C’était drôle.
-Je ne plaisante pas…Re…Non il y a des moldus, je ne peut pas.
-Des mold..quoi ?, demandât-elle en écarquillant les yeux. Alice perdait la boule, ou quoi ?
-Des sans pouvoirs si tu préfère….Enfin. Tu es née de deux parents sorciers, ou de deux moldus, ou d’un sorcier et d’une moldue etc. Ceux qui sont nés de moldus on leur don inné, il provient de nulle part, où de très loin dans l’arbre généalogique. Et silteplait crois-moi, c’est une explication plausible aux choses étranges qui t’arrivent, en plus, non ?
-Non. Ca n’existe pas, ma mère me l’a dit le jour où je lui ai demandé si le père noël existait, bien qu’elle eu parut gênée de m’apprendre que la magie était fictive, elle me l’a dit.
-Tu crois que ta mère est honnête ? Ne me disais-tu pas que son amour lui-même déjà était « fictif » ? Rah, je hais ce mot !, pestât-elle à haute voie.




Elle ne comprennait toujours pas. Cela faisait dix jours qu’elle ne sortait plus de sa chambre, n’allait plus à l’école (vacances), et qu’elle tournait en rond. Et cela faisait un mois qu’elle n’avait pas revu Alice depuis qu’elle lui avait raconté tant de choses à son sujet. Dans deux jours l’école recommençait, et si elle n’avait pas finit ses devoirs elle était morte. Alors pourquoi se compliquait-elle la vie à penser sans relâche à ce que sa pseudo-meilleure amie lui avait dit ?! Depuis ce jour-là elle avait lut énormément de bouquins qu’Alice lui avait donné et elle s’était rendu compte qu’il était tous sur la magie, et que certains avaient des apparences de grimoires de fée, ou de vieux bouquins. Elle en avait lut une trentaine en quelques jours seulement, sa mère s’en étonnait et croyant qu’elle étudiait d’arrache pied se réjouissait que son « rejeton » devienne enfin une enfant « rentable et noble » digne de ce nom. Herm. Plus Windy lisait plus elle avait l’impression de changer, pour se rendre à une évidence, qu’elle s’était efforcée de balayer à chaque fois : et si c’était vrai ? Tous ces bouquins parlait d’un monde qui semblait si réel et plausible, que c’était à s’en demander si tout ça n’était pas réellement réel, si tout cela n’existait pas vraiment. Mais encore une fois elle avait refusée d’y croire et s’était inculquée dans la tête à coup de bosses, de paroles, et de cris, que c’était FAUX.

Seulement, aujourd’hui, alors que Windy était dans sa chambre, elle se surprit à vouloir un livre hors de sa porté, mis au pied du lit alors qu’elle était allongée, et la perspective de se lever ne l’enchantais guerre. Alors, pour plaisanter, elle se remémorât une formule vu dans un des 50 bouquins qu’elle avait lut, et elle finit par dire, une pointe d’amusement, ou de sarcasme, dans la voie :

« -Acciooo… Livre au bout du lit ! »

Et…Et ! Le livre se retrouvât projeté en pleine figure de Windy qui poussât un cri de stupeur, alors que sa mère la réprimandait de la cuisine. Tandis que son cœur se remetait de son émoi, Windy, elle, avait la bouche grande ouverte et respirait à coup d’immense inspiration et expiration. Ah .. Ah ! Ah.. Ah ! Elle n’en revenait pas. Comment ce livre avait bien put arriver-là ? Son pied avait fait un faut mouvement sous l’amusement et elle l’avait projeté, voilà tout ! Non. C’était autre chose. Elle avait vraiment fait de la magie, et elle hésitait entre s’en émerveiller ou s’en dégouter. Finalement elle optât pour courire voir Alice. Mais quand elle sortit de sa chambre en plein élan, son père la stoppât net.

« -Ou cours-tu comme ça, toi ?!
-Je…J’ai quelque chose à faire ! Vite, pousse-toi !, la main claquât.
- On ne parle pas comme ça à son père, jeune fille ! Surtout quand on a 8 ans !, et suite à ces paroles Windy devint si rouge, si en colère, que subitement les objets de la maison commençèrent à trembler.
-J’ai dit POUSSE-TOI !!!! »

Ce fut rapide, l’homme qui lui servait de père déguainât un baton et il hurlât une formule magique, et tout fut noir autour d’elle. Windy sentit ses membres se gelé, se ramollir, et faire d’autres choses en mêmes temps, comme si on la compressait dans une machine. Puis elle se réveillât.

« -Ma chérie…Bravo. Je suis fière de toi., pourtant le son sonnait faux.
- Il y a de quoi, vraiment., répondit sarcastiquement son père.
- Quelqu’un…m’éxplique…, demandât enfin Windy d’une voie ensommeillée.
- Tu es une sorcière, ton père t’as immobilisé où tu cassais tout.
- Très drôle…Vraiment…C’est un complot avec Alice hein..c’est ça ?
- Alice ? Je ne connais pas d’Alice !, répliquât-elle piquée au vif. Maintenant notre éducation va pouvoir prendre forme, tu deviendras AUROR plus tards, ou je ne sais quoi.
- Grâce, ne la brusque pas plus, où elle va croire qu’elle peut nous parler comme à des amis.
- Je sais ce qu’est une AUROR..J’ai lut…Je crois..Mais ce n’est pas le genre de métier que vous apprécieriez, et en plus, je ne comprend rien à votre mascarde. Très drôle l’histoire des pouvoirs, mais ça suffit., demandât-elle toujours affaiblie.
- Ecoute-moi bien jeune fille, finit par dire très froidement et durement son père, nous t’avons élevé comme nous le pouvions dans l’unique but de te former à entamer une carrière préstigieuse, nous n’avons pas élevé une petite peste comme toi pour qu’elle fasse ce que bon lui semble., pour le coup, le père de Windy recouvrait ses moyens, et sa vrai attitude.
- Exactement, dans la famille Watson, nous ne tollérons pas les sorcières et sorciers incompétent, Windy., coupât sèchement sa mère alors que Windy s’apprétais à ouvrire la bouche.
- Et puisque tu sais tellement de choses, son regard se fit tendre pendant un éclaire, jusqu’à ce qu’elle se ressaisisse et comprenne qu’elle donnait des (faux) espoir de tendresse à sa fille, tu va pouvoir entrer dans le monde des sorciers…Sans problèmes. Et si tu échoue, sache que… Que…
- Que tu en seras plus de la maison !, coupât à son tour son père, d’un ton abrupte. Tout était si soudain, et en même temps cela faisait un moi et demi qu’elle étudiait ce « monde » sans s’en rendre compte. Windy n’y croyais pas.
- C’est ça….Ecoutez, je n’en crois pas...un mot ! Et je dois aller voir Alice, elle m’attend au parc, j’en suis sûre., demandât-elle d’une voie qui commençait à se faire suppliante, et agacée.
- Nous ne connaissons pas d’Alice ?!, répliquèrent en parfait accord les deux parents qui changeait au fur et à mesure.
- JE M’EN MOQUE ! MAINTENANT VOS SALADES VOUS VOUS LES GARDEZ COMPRIS ?! VOUS M’AVEZ TORTUREE DEPUIS TOUTES PETITE ET VOUS CROYIEZ QUE….que…, un peut plus et elle pleurait, elle voulait partir, et vite.
- Tu ne comprend pas ma chérie….
- Elle ne comprend jamais rien, c’est une incapable.
- Oh…Certes, mais Albus inutile de la brusquer encore plus…, étrangement, Grâce semblait devenir plus douce, mais pourquoi ?
- Fo..utez-moi la paix..Je… Je ne suis pas la petite fille idéale que vous croyiez que je suis, je suis…Windy !

Windy partit en claquant la porte. Alice, Alice, où était-elle ?! Où !




Windy ne savait pas vraiment où aller, par-là ? Par ici ? A gauche ? A droite ? Elle était perdue. Elle ne savait pas où habitais Alice et elle ne voulait pas tenter le parc. Finalement, elle tournât en rond pendant au moins trois heures. Elle était épuisée et ses jambes ne la supportais plus, elle avait l’impression que le monde s’écroulait sous ses pieds et qu’elle tomberait elle aussi dans le précipice très bientôt. Elle ne comprenait plus très bien, donc ses parents étaient sorciers, c’est ça ? Sa meilleure amie aussi ? Pourquoi avait-elle été liée avec des gens faisant de la magie sans le savoir ? Pourquoi ces coïncidences ? Surtout avec Alice ? Tant de questions et toujours aussi peut de réponse. Windy en perdait littéralement la boule, c’était rageant. Puis finalement son supplice se stoppât net à l’angle d’une rue. Windy venait d’apercevoir Alice qui marchait un peut plus loin, elle avait des cernes et paraissait visiblement triste et fatiguée. Rien qu’à sa vue, Windy se sentit éprise de remords, et elle courut la retrouver. Seulement, lorsqu’un humain ressent un sentiment fort, il fait abstraction de tout ce qui l’entour et se concentre sur la cible de son désir, ou de sa haine, ou de quoi que ce soit d’autre. Et vu que Windy était encore humaine, même avec des pouvoirs, elle ne vit pas arriver à l’angle la voiture qui fonçait droit sur elle.
Puis ce fut le trou noir.

Windy se sentait mal, comme coincée dans un tunnel si étroit qu’elle étouffait. Coincée entre vie et mort, aurait été plus juste, mais la sensation qui la traversait se traduisait bien par le fait d’être coincé dans un tube étroit, et c’était très très désagréable. De temps à autre elle entendait des chuchotements vague, signe qu’elle était peut-être encore en vie, ou qu’elle allait au Paradis, ou en enfer. En plus de toutes ces sensations, elle avait l’impression que quelqu’un lui tapait le crâne de l’intérieure avec un marteau piqueur. Où avait-elle attérie ? Quelques fois lui parvenait des bribes plus ou moins clair des paroles qu’elle entendait et qui devait toutes faire parties de al même conversation. A savoir : la magie. Les mots qu’elle entendait était si peut commun qu’il ne pouvait parvenir du monde « réel » comme elle s’était décidée à l’appeler en contraire au monde des soi-disant « sorciers ».
Puis finalement, après quelques heures de supplices entres le jour et la nuit, la vie et la mort et la jubilation et le dégout, elle se réveillât.
Elle se trouvait dans une petite pièce blanche, dans un lit d’hôpital. Tout aurait parut normal si les instruments de perfusion ne se déplaçait pas tous seuls et ne parlait pas, et visiblement : ils avaient été mis là juste pour rendre un peut plus réaliste toute la scène, car ils ne servaient à rien. Rien qu’à leur vue Windy avait eu un haut le cœur et s’était demandée si il ne valait pas mieux qu’elle crève là, maintenant, tout de suite. Mais quelque chose avait surgit dans sa tête et l’avait forcée à rester éveiller : en face d’elle se trouvait une personne qu’elle reconnaissait entres milles, malgré toutes les blessures qu’elle avait à présent. Alice. Sa vue horrifiât Windy, comment était-elle arrivée-là ? Pourquoi était-elle toute tachée de sang ? Les questions encore une fois remplissait le crâne de Windy qui hésitait entres la peur, le dégout, la stupeur, et tout le reste, surtout la folie. Puis finalement elle commençât à sentir ses membres s’engourdirent…Oh non ! Il ne fallait pas qu’elle tombe dans les pommes ! Elle clignât des yeux, comme pour s’empecher de dormire de force, et elle bégayât avec le peut de force qu’elle avait :

« -A…Alice ? »

Silence. Personne ne lui répondit, et ce fut comme si le monde se dérobait sous ses pieds. Malheur ! Horrible douleur ! Tous ces mots qui lui donnaient envie de vomir, et de mourir. Alice, alice…Pourquoi était-elle là ? Que s’était-il passé ? Puis elle entendit des bruits de pas et préférât faire mine de dormir.

« -Elle est réveillée…
-Inutile de la forcer à ouvrir les yeux Edward. Calme-toi.
-Alice..Est morte., à ces mots Windy eu envie de cracher du sang, de vomir, de hurler, comment pouvait-il dire ça ?! Non !
-….Elle est morte en faisant un geste noble. Etranges sont parfois les surprises que la vie nous réserve…Ne pas pouvoir sauver une sorcière à cause d’un accident de voiture…J’aurais tout vu.
-C’est Alice, son corps semblait ne même pas se battre pour vivre., répondit-il platement.
-Je vois., répondit la voie de la femme, quoiqu’il est difficile de voir quoi que ce soit., à son ton Windy devinât aisément qu’elle souriait. Windy est encore en vie, c’est l’important. Heu, je veux dire, qu’on à réussit à sauver une des deux jeunes filles. Même si Alice avait beaucoup de potentiel, et….heu…
-Ne te fatigue pas Verra, j’ai compris. répliquât froidement Edward.
-Non ! Ce n’est pas ça...Je ne voulais pas dire ça !
-Je sais Verra. Vu comment tu t’es démenée pour ramener Alice…, le ton semblait sincère.
-Merci…Je crois. Quand Windy se réveillera « vraiment » il faudra lui expliquer.
-Oui mais avant…
-Edward…, coupât une voie faible. Alice.
-A..Alice ?!, le cœur de Windy ne fit qu’un bon dans sa poitrine suite à l’éxclamation qu’Edward venait de pousser.
-Windy…, à ce moment là, Windy se redressât et ouvrit les yeux. Alice semblait mort vivante avec tous ce sang, elle sortit de sa poche un bâton intacte, il était étrange, et possédait des inscription un peut partout, comme des gravures. Puis Alice tendit sans se lever le baton, Windy tendit son bras, et réussit non sans mal à l’attraper., puis Alice poursuivit d’une voie empreinte d’une mélancolie étrange : -Ecaille de sombrales, fait en bon usage….Hein…., puis elle fermât les yeux, une petite larme semblât scintiller au coin de son œil gauche, puis elle devint froide. »




Elle relut la lettre maintes et maintes fois, et n'eu qu' à se rendre à l'évidence: c'était vrai ! Elle allait à Poudlard ! Une école de sorcellerie ! Windy ignorait que cela éxistait, mais qu'elle était folle de joie ! Contrairement aux autres années l'éxistence de la magie n'était plus du tout repoussante à ses yeux et elle se réjouissait de commencer une nouvelle vie.
Elle allât donc à Poudlard, pour être reçue à Gryffondor (Hé oui!) et sa vie prit une tournure beaucoup plus gaie loin des siens. Elle apprit beaucoup plus de choses sur la magie et visitât les moindres recoins de l'école, elle fit aussi la connaissance de plusieurs personnes qui lui permirent d'oublier Alice, ou plutôt d'éffacer la douleure.Windy en profitât pour s'éloigner de sa famille pour pardonner et recommencer comme elle pouvait, cependant elle favorisât ses été à chouchouter Amétiste, vut qu'Honey la rejetais. Lors de sa troisième année Windy rencontrât Will, un jeune homme avec qui elle nouât une amitié sans bornes, jusqu'à ce que ce dernier retourne en Bulgarie pour des raisons visiblement importantes, cependant Windy avait appris depuis longtemps à ne plus s'accrocher aux gens au point d'avoir envie de mourire quand ils partent. Elle fut donc ravie pour lui, visiblement la Bulgarie restait son pays Maternel et il l'adorait, et s'addonnât donc à ses études encore plus que d'habitude, tout en faisant connaissance avec les joies des Bierraubeur et des bonbons de Pré-au-Lard et en écrivant à Will tant qu'elle le pouvait. Elle fit aussi la connaissance de June, Aimée et Loue, avec qui, au cours toujours de sa troisième année, elle fondât une sorte de Journal de l'école qui disparut deux ans après suite aux réprimandes des professeurs qui n'étaient pas fier de voir qu'un éspèce de faux journal circulait avec dessus les rumeurs les plus débiles possibles sur les comptes des professeurs, des élèves, et de tout le reste.
Après ses ASPICS elle prit son indépendance, mais restât très en contacte avec ses sœurs et sa mère. De plus, suite à ses ASPIC Windy, qui avait travaillée d'arrache pied pendant toutes ses années prit la décision de se lancer dans la voie de Médicomage.
Peut après cela elle fit la connaissance de sa grand-mère Perdita avec qui elle nouât une amitiée profonde l'année de ses 17 ans, toujours la même année que l'obtention de ses ASPICS, jusqu'à ce que cette dérnière perde la tête et l'accuse du décès de sa mère des années au par avant.
Windy soignât ses deux blessures (la perte d'Alice) au fil des années grace à ses deux soeurs, oui les deux, et vint même à pardonner comme elle pouvait son Père qui lui ne voullut plus entendre parler d'elle, suite au fait qu’elle ai choisis une nouvelle voie. Elle favorisât ensuite les relations avec sa mère, sa grand-mère, et sa famille. Malgrès le fait que sa mère n’ait pas divorcé de son père et que ce dernier ai demeuré toujours à la maison.
Puis elle commençat sa nouvelle vie en postulant au poste auquel elle aspirait, en priant pour l’obtenir.

Commentaire : En espérant que la vie de Windy soit plus souriante à l'avenie.
Bienvenue et bon jeu !

Métier : Médicomage

Don ou particularité : Aucun